1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1527)


    Datte: 07/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ! » pensais-je ! Avec ses deux genoux, il me bloquait la tête et s’enfonçait de plus en plus profondément dans ma gorge. J’hoquetais, pleurais, bavais, gigotais, tentais par tous les moyens d’échapper à cet énorme phallus dur comme du marbre, mais encore une fois, le pied du Maître pressant mes burnes, m’obligeait à avaler, à prendre ce gros membre en fond de gorge.
    
    - Allez, prends-le maintenant !, lui ordonnait le Maître.
    
    Son sexe couvert de salive et de liquide séminal était prêt à l’emploi. Moi, toujours sur le dos, les jambes grandes ouvertes, lui offrais mon anus. Lui, ajustait son membre sur mon orifice et me pénétrait d’une lente poussée continue. Il aurait dû râler de plaisir, mais formaté à ne rien laisser apparaitre, il se contentait de s’enfoncer profond en faisant des tous petits va-et-vient dans mon cul alors que, moi, j’étouffais un petit geignement douloureux. Une fois bien calé en mon fondement, il commençait alors à me ramoner avec cette fois d’amples coups de reins bien prononcés. Ses coups de butoir réalisés avec sa parfaite impassibilité telle une machine mécanique, mes gémissements, l’odeur de baise, la vue de ce soumis ultra-formaté, que je ne connaissais pas dix minutes plus tôt, presque couché sur moi en train de me besogner, dans ce lieu sous le regard attentif de Monsieur le Marquis, la pression de ce méga sexe sur mon muscle anal, tout contribuait à m’exciter ! Je me sentais être une sale pute à plaisir juste pour qu’on jouisse de mon corps ...
    ... de catin, et ça m’excitait également. Comme par réflexe, mon anneau de chair se resserrait sur ce chibre à chaque fois que celui-ci cherchait à se dégager de mon fourreau, se détendait lorsque ce membre turgescent était aspiré au fond de mon conduit brulant. Je me sentais partir, je le voyais se cabrer, se raidir et sans gémir, tête rejetée en arrière, juste ses yeux révulsés, des gouttes de sueur perlant sur son front, la bouche juste entrouverte mais immobile, concentré sur son plaisir silencieux. En me tenant par les jambes, kévinsoumis continuait à me labourer parfois doucement, parfois brutalement, comme s’il souhaitait ameublir mes chairs intimes. Je sentais sa totale détermination et devinais venir sa jouissance arriver à toute vitesse.
    
    - Vas-y, tu peux jouir, et tu es autorisé à exprimer ton plaisir, à lâcher ton orgasme bruyamment, ordonnait le Maître.
    
    A bout de souffle, kévinsoumis éjaculait alors longuement en mon cul, tout en gémissant bruyamment, lâchant des râles jouissifs à n’en plus finir. Quel contraste ! Il avait été formaté pour ne rien laisser paraître de son plaisir et maintenant qu’il était autorisé à l’exprimer, il ne se gênait pas pour beugler à tout va ses râles orgasmiques !… Le temps qu’il reprenne ses esprits, il restait planté en moi, un long moment encore, jusqu’à ce que je sente son sexe mollir et fuir mon orifice dilaté et dégoulinant vers l’extérieur un peu de sa semence crémeuse.
    
    - Oh merci Vénéré Maître !, disait-il en embrassant en ...
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