La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1527)
Datte: 07/09/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... douche et maintenant j’empruntais le chemin m’emmenant à la vigne des Gariabans. Là il y avait une vieille cabane de vignerons, j’y entrais. L’intérieur était parfaitement rangé et le planché était propre et balayé. Je me déshabillais donc et me positionnais comme exigé, à même le sol, avec la trouille au ventre. Ce petit mas de pierre était à proximité du chemin départemental. Certes ce n’était pas l’autoroute mais, de temps à autre, j’entendais passer une voiture, une mobylette, ou un engin agricole. J’étais sur mes gardes. Et si quelqu’un me voyait là… nu, avec cette cage de chasteté et dans cette posture humiliante et difficile à tenir parce que mes muscles étaient encore courbaturés de la veille !
« Quelle dépravation ! » me disais-je en me voyant ainsi… Fallait-il une telle rupture pour être celui que je souhaitais être ?, pour m’accepter tel que j’étais ?, pour vivre ma propre Nature servile ? Le jeune homme de bonne famille, intello, style gendre parfait, se trouvait là, les jambes en l’air, cul à disposition, totalement corrompu et perverti, dans la plus complète déliquescence et la totale concupiscence… Je n’étais pas qu’un chien soumis ou un animal de compagnie, j’étais simplement esclave de mes pensées vicieuses et lubriques, esclave de mon corps en me livrant aux plaisirs sensoriels et charnels, et en acceptant le vice et la lubricité ! Je laissais exprimer mes plus bas instincts sexuels et pervers dans cet animal qu’il y a dans chacun de nous… J’étais là en ...
... cette position scabreuse parce que Monsieur le Marquis le voulait, parce que je souhaitais le voir s’approprier la moindre parcelle de mon esprit et de mon corps qui ne m’appartenaient plus, en étant juste utilisé, besogné, Lui servir de vide-couilles, être juste Son objet de plaisir ? Sa chose ? Qu’Il dispose de mon corps nu selon Son bon vouloir… Mon cerveau était en vrac, un vrai tournis bouillonnant dans ma tête, une enivrante fièvre, telle une chienne en chaleur m’envahissait alors, je me sentais salope, pute, lopette, juste bonne pour la saillie… et cette excitation ne me lâchait pas ! Me donner en spectacle, me faire prendre par mes deux trous, buccal et anal, oui me faire baiser aiguillonnait tous mes sens en éveil, quand j’entendis …
- Mon chien soumis est-il là ?
Je reconnaissais de suite la voix à extérieur de Monsieur le Marquis. Puis il donnait un grand coup de pied dans la porte en bois pour l’ouvrir. Il était en tenue de Gentleman Farmer, on eut dit un Lord Anglais, avec des bottes en caoutchouc aux pieds, une casquette rivée sur la tête, cravache en main, fouet à la ceinture. Il tenait en laisse, un jeune homme blond, peut-être un peu plus jeune que moi, totalement nu en quadrupédie, hormis le collier qu’il portait au cou, le sexe non encagé parfaitement érigé. Ce jeune soumis blond aux yeux clairs, poitrine velue, ne montrait pas une quelconque gêne, au contraire, son attitude était parfaitement naturelle, comme si tout lui semblait évident, ordinaire, ...