1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1527)


    Datte: 07/09/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... nouille sous l’eau glacée, afin de la calmer.
    
    Je retrouvais enfin Charles, qui fulminait et tournait en rond…
    
    - Me voilà Charles, me voilà, bien désolé…
    
    - Ah enfin !
    
    - Oui, désolé Charles, vraiment désolé. Dites-moi, c’est quoi cette histoire d’effeuillage ?
    
    - Vous, Monsieur Alexandre, il faut arrêter d’aller voir les jolies jeunes filles le soir, Louise et-moi, nous vous avons entendu passer hier en fin d’après-midi, vous sembliez pressé d’aller la retrouver. Je ne sais pas qui elle est, mais elle doit être sacrément belle. Charles me lançait un clin d’œil rieur.
    
    - Tout ça ne me dit pas ce qu’est l’effeuillage, Charles ? Reprenais-je en souriant.
    
    - Je vous l’ai déjà expliqué, Monsieur Alexandre, effeuiller la vigne, c’est couper les feuilles près des fleurs, pour favoriser la maturation des raisins.
    
    « Oh, quel idiot suis-je ! », pensais-je. Je me voyais déjà en train de me désaper devant Charles où quelqu’un d’autre… Ca me montait vraiment à la tête ces histoires de soumission ! Je soufflais !... Charles et moi marchions, côte à côte, sur le chemin nous emmenant à la vigne, lorsqu’un nouvel sms arrivait :
    
    « Rendez-vous à 16 heures, au bout de ta vigne dénommée les Gariabans, dans la cabane, tu m’attendras nu, couché sur le dos, jambes relevées sur ta poitrine, signé Le Maître. »
    
    - Bien Maître, à Vos Exigences, Maître, tapais-je pour répondre au plus vite.
    
    Même effet au niveau de mon bas-ventre, la toile de mon short se tendait, mais ici, ...
    ... impossible de régler le… problème, d’avoir la même thérapie, pas d’eau glacée à disposition…
    
    - C’est votre douce qui vous envoie des petits messages…, me demandait Charles.
    
    Je me contentais de sourire. Charles reprenait.
    
    - Vous avez bien raison de ne rien dire. Vous savez Monsieur Alexandre, j’ai été jeune avant vous, et je sais ce que c’est quand on est au début d’une relation amoureuse, on ne dit rien, ce sont des choses qu’on garde pour soit !
    
    Ma matinée à effeuiller la vigne était des plus pénibles, le sommeil me manquait, mes pensées m’entrainaient continuellement vers ce que j’avais vécu hier et ce matin au Château. Et lorsque celles-ci s’estompaient, je me mettais à gamberger sur ce rendez-vous prévu en ce milieu d’après-midi. A quoi devais-je m’attendre ? Qu’allais-je devoir subir ? Seule chose que je savais, mon excitation montait au fur et à mesure que l’heure approchait, ma nouille cherchait à s’ériger constamment. A treize heures, Charles et moi regagnions la Bastide. La brave Louise nous attendait avec un copieux déjeuner préparé.
    
    - Je vous ai fait une bonne salade de tomates du jardin avec quelques côtelettes d’agneau grillées et une bonne purée maison de nos pommes de terre, est-ce que ça peut vous convenir Monsieur Alexandre ?
    
    Oh que oui que ça me convenait… J’avais faim de tout et de sexe en particulier !… Ce bon repas me requinquait de mes fatigues… Seize heures allaient sonner sous peu, je me pressais. J’avais fait la sieste, pris une nouvelle ...
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