1. Maison d'arrêt (9)


    Datte: 07/09/2022, Catégories: Transexuels Auteur: STILETTO, Source: Xstory

    ... mon enculeur inconnu a joui. Aussitôt le tatoué sort sa queue de ma bouche et se précipite pour le remplacer. J’ai à peine le temps de prendre une bonne goulée d’air qu’une autre bite s’engouffre entre mes lèvres.
    
    Ce soir, mon expérience de la gorge profonde me rend un sacré service. Si je ne l’avais pas, je pense que je mourrais étouffée.
    
    Cela fait maintenant 20 minutes que je suis prise par tout le trous, et je n’arrête pas de couiner de plaisirs.
    
    Mon homme lui fait une drôle de tête. Est-ce de la jalousie? Non, ça n’y ressemble pas, en fait on dirait plutôt de la pitié. Mais oui c’est ça, il croie que mes gémissements sont dues à la douleur cette andouille.
    
    Philippe n’en peut plus de me voir "souffrir" et s’approche de moi. Je vois qu’il est sincèrement désolé, ses yeux semblent vouloir me dire :"Courage chérie, tiens bon. Je suis fière de toi"
    
    J’évite de le regarder. J’ai peur qu’il s’aperçoive qu’en fait de souffrir, je suis en train de jouir comme une folle. Pour donner le change, je pousse des plaintes étouffées à chaque fois que je le peux.
    
    Les unes après les autres, les queues passent entre mes mains puis ma bouche, pour finir dans mon cul. Lorsque le dernier jets jaillit dans mon anus, celui-ci est déjà plein à ras ...
    ... bord et le sperme dégouline le long de mes cuisses pour former une petite mare sur le sol.
    
    Une fois fini, les lieutenants relèvent leur pantalon et quittent les lieux un par un, me laissant seule avec le boss. Pendant ce temps, je reste allongée sur le sol, ivre de jouissance et de plaisir.
    
    Philippe est toujours blanc comme un linge après avoir vu sa petite femme traitée de la sorte. Il a continué à prendre mes gémissements pour des cris de douleurs, mais en fait je mouille comme une fontaine. Je n’ai jamais autant joui.
    
    Mon homme s’approche enfin de moi, il semble bouleverser. Je fais semblant de me plaindre.
    
    — Johana tu as été merveilleuse, mais c’est trop dur. Je ne pourrai pas supporter de te voir à nouveau traitée de cette façon par mes hommes. Peu importe ce qui arrivera, mais je ne veux plus t’imposer ce supplice!
    
    ( Ce supplice, mais ca va pas la tête. Maintenant que j’ai gouté à ça, je ne pourrai plus m’en passer. Hors de question que tu m’en prives!)
    
    — Ne fais surtout pas ça chéri. Lui dis-je précipitamment. Ne t’inquiète pas pour moi, je tiens le coup.
    
    Dans l’intérêt de ton leaderships, il faut que tu m’obliges à me faire sauter par tes hommes, quelque soit ce qui m’en coute.
    
    et ce.....
    
    TOUTES LES SEMAINES! 
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