Un beau gros cadeau pour Caro - Histoires de Sexe

Un beau gros cadeau pour Caro

... peu, je me mettrais bien à rire de bon cœur ! Soudain, une main écarte ma fesse droite, quelque chose se cale à présent. Puis mon autre fesse subit le même sort.

Je crois que la fusée est dans le bon axe et qu’elle va décoller !

— Aaaah ! ?

C’est plus par surprise que je pousse une longue plainte que par douleur. La chose immense entre en moi, et elle coulisse dans mon sombre tunnel avec une certaine aisance, grâce à une étonnante élasticité de mon sombre tunnel, mais aussi de la colonne qui me perfore. Néanmoins, j’ai la nette impression d’être remplie à raz bord, à deux doigts du verre qui déborde, si vous voyez l’image !

Non, ça ne fait pas mal, mais c’est étrange, insolite, et presque jouissif, sans que je n’arrive à expliquer le pourquoi du comment. J’essaye d’imaginer cette colonne dodue entrer en moi, cette verge immense qui m’empale. Je ne peux m’empêcher de gémir doucement :

— Oooh !

Soudain, ça s’arrête, plus rien. Après quelques instants, intriguée, je demande :

— Il… il se passe quoi ?

Aussitôt, Philippe répond :

— Il se passe que tout est entré…
— QUOI ! ? Tout ! ?
— Oui, tout.
— C’est pas vrai ! !
— Si je te le dis.

Ça me scie ! Je n’y croyais pas !

— Eh ben merde alors !
— C’est le cas de le dire…

Pinçant les lèvres, je remue délicatement sur le pieu enfoncé en moi. Tout va bien, je ne ressens aucune douleur, juste un étrange plaisir. Après quelques oscillations, je lâche :

— Y a pas à dire, mais les grosses queues, ...

... ça change ! Je ne ferai pas ça tous les jours, mais c’est une expérience à faire. Un beau cadeau que tu m’as fait là, mon amour !
— Je suis ravi que ça te plaise…

Je lui pose une question qui me brûle les lèvres depuis tout à l’heure :

— Franchement, tu penses quoi de moi ?
— Que tu es magnifique toute nue…
— Merci, merci, mais ce n’est pas tout à fait ça que je demandais…
— Que tu es magnifique toute nue, bien plantée sur la grosse bite d’un inconnu qui te fait jouir comme une petite folle.

Je soupire :

— Ah ça, pour être folle, je dois l’être !
— Folle, non. Un peu plus libertine que ce matin, oui.

Avec un petit sourire, je demande :

— Hmmm, pas trop frustré de ne pas participer ?
— C’est ton cadeau à toi que tu as, mais si tu m’invites au bal, j’accoure…
— Hmmm, t’es en train de me suggérer quoi, là, petit canaillou ?
— Rien de plus que tu ne puisses souhaiter…

Alors je me lance :

— Et si tu venais, toi-aussi ?

Pour toute réponse, Philippe se glisse entre mes cuisses et sa verge cogne déjà à l’entrée de mes lèvres intimes. Je me mets à rire :

— Tu n’attendais que ça, n’est-ce pas, gros filou ?
— Il est difficile de rester de marbre avec toi…
— J’espère pour toi que ta queue sera dure comme du marbre !
— Je crois que tu commences à la connaître, depuis toutes ces années…

Puis il pousse son bassin en avant pour me pénétrer. Je sursaute un peu, deux verges en moi, c’est une nouveauté, mais ce n’est pas désagréable, loin de là ! Je ne ...