Un beau gros cadeau pour Caro - Histoires de Sexe

Un beau gros cadeau pour Caro

... tu le gardes jusqu’au bout, ça fait partie du jeu.

Oui, ça fait partie du jeu. Je comprends confusément que c’est une façon pour mon homme de ne pas être jaloux puisque c’est un toy et non un autre homme. C’est vrai que je risque de me comporter différemment en fonction de qui je découvre. Et probablement que je n’ai pas intérêt à savoir qui c’est. Peut-être un voisin, peut-être un ami, peut-être un collègue à lui ou à moi, peut-être même un monstre…

Cette dernière pensée me fait frémir. Mais tel que je connais Philippe, il ne me ferait pas ce coup-là. Je penche de plus en plus pour un collègue de travail ou un de ses partenaires de foot, car mon homme joue en amateur confirmé.

Quand on parle du loup… Mon mari se manifeste :

— Pas trop fatiguée ? Tu continues à jouer avec ton cadeau ?
— Hmmm, ça peut se faire…

J’ai bien une envie mais elle me fait un peu peur. Je murmure timidement :

— J’aimerais bien voir ce que ça donne dans mon petit trou, mais j’ai peur que ça me fasse trop mal.
— Avec plein de lubrifiant et en y allant doucement, ça devrait aller. Ton cadeau a une certaine expérience de la chose.
— Ah bon ?
— Disons qu’il a une certaine habitude puisque ça va faire des années qu’il sait s’y prendre. D’après ce qu’il m’a confié, il a vite trouvé le mode d’emploi pour que ses partenaires veuillent y revenir…

J’hésite un peu, puis je dis :

— S’il a trouvé le bon mode d’emploi… mais si ça ne va pas, on stoppe tout de suite.
— ...

... D’accord…

L’instant d’après, Philippe lubrifie mon petit trou comme il a l’habitude de la faire, mis à part qu’il a assurément augmenté la dose. Je suppose que mon toy grandeur nature en fait de même avec son engin. Visiblement satisfait de lui, mon mari s’exclame :

— Voilààà, c’est bon…
— Euh… d’accord…
— Maintenant, lève-toi…

J’obéis. Je reste debout tandis qu’on s’agite autour de moi. Je suppose que ce sont les préparatifs pour la suite…

— Voilà, il ne te reste plus qu’à s’asseoir sur ton jouet comme sur un fauteuil.

Avec une certaine appréhension, je m’assieds sur les genoux de mon toy qui est visiblement allongé sur le canapé. Tout de suite, je sens entre mes fesses une colonne bien raide. Je me dis que j’ai peut-être fait une folie, car jamais ça n’entrera en moi, mon petit trou est trop serré, trop réduit, même avec une tonne de lubrifiant.

— Détends-toi, ma chérie. Ce n’est pas la première fois que ton cul est investi de la sorte.
— Oui, je sais, mais ton zizi est nettement plus acceptable que ce gros mandrin !

J’entends que mon toy est en train de glousser faiblement de rire. On voit bien que ce n’est pas lui qui se fait rentrer dedans ! Lui, il est du bon côté du manche !

— Tu vas voir, ça va passer tout seul !
— Oui, c’est ça ! Prends donc ma place !

En tout cas, en attendant, il y a tellement de lubrifiant que ça dérape de partout. Le bout de la grosse verge glisse tantôt vers le haut ou vers le bas, sans réussir à se stabiliser quelque part. Pour un ...