1. Le gang des souleveuses (2)


    Datte: 24/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... son soutien-gorge et en sort la plus énorme mamelle que j’ai jamais vue. Elle est plus grosse que ma tête !
    
    — Vas-y ! Prends ce téton en bouche !
    
    Je m’exécute avec attention. Je passe mes deux petites mains sous ce sein titanesque, et le soulève avec difficulté pour porter le téton à ma bouche. Je sens Mme Stein vibrer dès que ma petite langue titille ses sombres aréoles. La géante blonde laisse remonter une de ses énormes mains sur mes jambes de gazelle, jusqu’à ce qu’elle se retrouve sous mes petites fesses, légèrement décollées pour mieux jouer avec l’immense masse de son sein. Je sens un de ses doigts s’insinuer dans ma raie et commencer à chatouiller ma rondelle. Je frissonne de plaisir à ce contact si nouveau, et arrête de lécher l’énorme téton de la belle.
    
    — Continue, ne t’inquiète pas, je ne te veux pas de mal.
    
    Je continue donc à titiller cette poitrine si opulente et Mme Stein semble prendre de plus en plus de plaisir. Son doigt s’agite de plus en plus fort et de plus en plus ...
    ... rapidement sur mon anus, qu’il finit par le pénétrer. Je vibre de plaisir de la sentir en moi. La géante commence à gémir de plaisir alors qu’une chaleur croissante rayonne depuis son doigt, et finit par m’envahir tout le corps. Je suis secoué d’un plaisir dont je ne soupçonnais même pas l’intensité, et qui augmente au fur et à mesure que le gros doigt de ma prof me pénètre plus profondément. Je jouis sur le sein de la géante qui est en train de mouiller sa culotte sous mes coups de langue. Mon corps se relâche et si je n’étais pas soutenu fermement par Mme Stein qui a toujours un doigt dans mon fondement, je glisserais vers le sol.
    
    — Tu as été parfait ! Ta petite langue est si douce.
    
    Je me suis jamais senti aussi bien. Mon corps repose contre la plantureuse poitrine de ma géante de prof qui me tient toujours empalé. Je suis si épuisé d’avoir été le jouet de toutes ces amazones. Mes yeux se ferment de sommeil et je m’endors, serein, mon petit corps pelotonné dans le giron de ma sauveuse.
    
    FIN 
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