1. Le gang des souleveuses (2)


    Datte: 24/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory

    ... larmes, et une flaque commence même à se former à mon aplomb. Véronique s’approche alors.
    
    — Donne le moi, tu en as assez profité.
    
    Elle tend ses bras devant elle et Lidia m’y dépose précautionneusement. D’une puissante impulsion, Véronique me replace plus confortablement dans ses bras et est surprise du peu d’effort que ça lui coûte.
    
    — C’est vrai qu’il n’est pas plus lourd qu’une poupée !
    
    Elle se met alors à me jeter en l’air. Elle est si puissante que mon corps monte facilement au-dessus de sa tête. Je perds le sens de l’orientation, jusqu’à ce que la brute plus expérimentée me laisse retomber une dernière fois, dans ses bras musclés. Elle soutient mon corps chétif et quasi nu comme si je ne pesais rien, et se met à me bercer. Quand elle me lançait comme une crêpe, un de ses énormes seins en a profité pour sortir de son soutien-gorge, laissant apparaître un téton large et pointu. Déplaçant sa main qui est derrière mon dos sous ma tête, elle me force doucement à téter cette énorme mamelle de ma petite bouche. Cette une sensation totalement nouvelle pour moi. Je le sens durcir sous les caresses de ma langue et il a un goût à la fois sucré et salé. Je sens Véronique frémir de plaisir, et mon sexe durcit à nouveau de pouvoir jouer avec ce joyau si lourd. Gloria s’en rend compte et prend part au jeu.
    
    — Regarde ! ça l’excite de téter ta grosse mamelle. Je vais le soulager de ça.
    
    La géante qui m’a maintenu si longtemps en l’air par la simple force de ses deux bras ...
    ... saisit délicatement mon sexe entre son pouce et son index, comme le lui a montré Véronique. Appliquant une pression calculée, elle stimule adroitement mon pénis qui frotte contre l’autre sein de Véronique. Je me laisse aller à cette douce sensation qui se transforme rapidement en un plaisir plus puissant, qui force mon corps à se cabrer dans les bras de l’amazone. Je jouis sur le sein titanesque de la belle Véronique qui me regarde d’un sourire bienveillant.
    
    C’est à ce moment que je perçois un claquement de talon familier. Tournant la tête, je vois en contre-jour la haute et large silhouette de Mme Stein, notre prof. Elle fronce les sourcils devant le spectacle qui s’offre à elle: trois pulpeuses et jeunes amazones, dont une porte dans ses bras le petit corps chétif de leur camarade qui a son short et son slip sur les chevilles.
    
    — Mais qu’est-ce qui se passe ici ! Que fais-tu les seins nus, en portant ton petit camarade avec le pubis à l’air ? Mais je rêve ! Tu as du sperme sur ton visage et sur ta poitrine !
    
    Véronique passa rapidement sa langue sur ses lèvres pour tenter d’enlever un peu de la substance. Elle fait moins la maline maintenant.
    
    — Mais que lui avez-vous fait ? Ses fesses sont rouges comme des écrevisses ? Vous l’avez fessé ? Ce n’est pas bien du tout de s’en prendre à plus faible que soi. Vous êtes deux fois plus lourdes que lui et vous voyez bien que, maigre comme il est, il n’a pas le quart de votre force. Donnez-le-moi !
    
    Mme Stein est une femme ...
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