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Tant à l'eau...
Datte: 06/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... Quand arrive le premier coup, c’est supportable. Il ne le réitère pas de suite et elle se crispe comme pour mieux percevoir l’arrivée imminente de la nouvelle frappe. Le jeu dure encore et encore et le dixième coup vient clore la série qui l’a fait vraiment mouiller. Ali sait s’y prendre pour la mettre dans tous ses états. — Bien ! Ma belle, c’était seulement un hors d’œuvre ! Tu vas crier un peu plus fort pour la série qui va arriver. Je veux aussi que tu comptes chaque fois que je toucherai ton joli cul ! Reçu le message ? — Oui… monsieur. — Je suis certain qu’en quelques jours de ce traitement avec moi, tu deviendrais docile et que tu mangerais dans la main de tous ceux que je te présenterais. Ça te plairait, qu’en dis-tu ? — Non… monsieur. — C’est vrai que tu as un mari, un compagnon ! On lui demande de venir ? — Non, non, monsieur. Elle vient à peine de terminer sa phrase que le martinet s’abat sur sa croupe. Là, elle a bien senti le choc entre sa peau et le cuir. Elvire en oublie de compter. Elle reçoit un second coup aussi marqué que le premier. — Ceux-là ma douce, ne sont pas inscrits puisque tu ne les as pas comptés. —… — Tu dois le faire pour que je les comptabilise. Et un coup aussi fort que les deux déjà donné vient zébrer le derrière de la pouliche. — Un ! Ah ! — Tu es belle quand tu souffres ! — Deux ! Hummm ! Trois… Ça pleut sur son cul. Les coups savamment dosés, tous d’une égale intensité et lorsque le chiffre dix ...
... est atteint, le gars ne cogne plus. — Montre-moi ton visage, Elvire. Elle fait un demi-tour et il peut lire la longue ligne de larmes qui baigne encore ses joues. Elle a dû mordre méchamment le coussin sous sa bouche pour ne pas hurler. Ali lui frotte alors les fesses rougies par le martinet. — Tu es une très bonne cochonne. Bien peu de personnes, hommes compris sont capables de ne pas crier ou geindre… Je sais que tu vas devenir une belle petite soumise, une vraie chienne à baiser. Maintenant… un dernier effort. Le numéro de ton ami… — Non ! Pas Loïc. S’il vous plait, pas lui ! — Il s’appelle Loïc ? Son numéro de téléphone où je recommence le traitement. C’est l’instant que choisit le portable de la jeune femme pour se mettre à sonner dans son sac. — Bon ! Je crois qu’il va être inutile que tu me le donnes. Je vais me servir tout seul. Parfait. Attends une seconde encore. Le vieux bonhomme vient de passer un collier en cuir autour du cou d’Elvire et il attache à celui-ci les deux bracelets de sa prisonnière. Enfin il relie une longue chaine au mur et au collier. Elle est cette fois en mauvaise posture. Lui fouille désormais tranquillement dans son sac à main, à la recherche de l’objet qu’il lui réclame depuis un moment. Dès qu’il l’a, il file dans une autre pièce et seule la voix d’Ali lui parvient sans qu’elle entende la conversation. Quand il la rejoint, elle est en proie à une peur irraisonnée. — C’est bon calme toi ! Je vais te frictionner les ...