1. La petite Sophie


    Datte: 30/08/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... du cadeau qu‘elle m‘offrait.
    
    - Tu permets que j’en fasse autant avec toi ? Me lança-t-elle
    
    - Je t’en pris…
    
    Sans aucune hésitation, elle me retira le tee-shirt, mon jean. J‘avais le cœur qui battait à tout rompre. Elle marquait à peine un temps devant mon slip bien déformé par une monstrueuse érection. Elle commençait à le descendre, en faisant bien attention de ne rien accrocher. Elle marqua un nouveau et bref temps d’arrêt devant l’objet qui se libérait du sous-vêtement.
    
    - Cela te dit de me branler ? Lui fis-je
    
    - Pourquoi pas. Mais comment en fait ? S’exclamait-elle.
    
    - Tu vas pour commencer prendre ma queue dans ta main.
    
    Elle esquissa le geste, mais à peine l’avait-elle touché, qu’elle retira sa main.
    
    - Non, je n’ose pas.
    
    - Arrête de déconner et prends la.
    
    - Je ne sais pas si je pourrais.
    
    - Prends-le, je te dis, je vais te montrer comment faire.
    
    Rassurer elle me prit. La fraîcheur et la gracilité de sa main me surprenaient et me fouettaient. J’entourais sa main avec la mienne pour la guider, restait un long moment sans bouger, et j’entamais le va-et-vient salvateur. Brusquement, elle retira sa main à nouveau.
    
    - Non ! je ne veux pas !
    
    - Si, prends-là. J‘en ai besoin ! Je ne peux pas rester dans cet état.
    
    Je repris sa main, parvenais doucement à vaincre sa résistance, et disposais à nouveau ses doigts autour de ma verge, enserrés par ma propre main. Je repris le va-et-vient. Cette fois, elle se laissa faire et, bientôt, elle ...
    ... n’avait plus besoin d’être guidée. Son mouvement était moins hésitant, prit de la fermeté et de l’ampleur, jusqu’à ce que de longs jets de sperme giclaient et se perdaient dans le foin.
    
    - C’est donc ça, me dit-elle simplement.
    
    Il avait fallu attendre le mercredi après midi pour de nouveau pouvoir nous réunir dans la garçonnière. Elle portait une petite robe d’été très craquante. Elle vint prendre place à mes côtés sur le sommier de mailles. On s’assied tous les deux sur un rocher.
    
    - Dis donc, demanda-t-elle dans un souffle.
    
    - Oui ?
    
    - Heu… Tu te machines, de temps en temps ?
    
    - Bien sûr, tu crois quoi…
    
    - Et comment tu fais ?
    
    - Comme je t’ai montré la dernière fois, pardi…
    
    - Oui, mais là, j’étais avec toi. Quand tu es tout seul, tu fais comment ? Explique-moi. Ou alors, montre-moi !
    
    - Tu ai vraiment plus cochonne que moi… D’abord je me caresse en pensant à quelque chose d’excitant. Ou en humant un sous-vêtement portée.
    
    - Tu veux dire une culotte.
    
    - Par exemple.
    
    Elle se retira la sienne et me la tendis.
    
    - Merci mademoiselle.
    
    - Avec plaisir, monsieur.
    
    Je la portais à mes narines et comme par magie ma queue grossit. J’enroulais alors mes doigts autour de ma hampe et fis un mouvement de va-et-vient.
    
    - C’est agréable ?
    
    - Putain tu ne peux pas savoir comment c’est bon…caresse toi aussi…
    
    - Comment on fait cela ?
    
    - Approche je vais te montrer.
    
    Doucement je posais la main sur sa jambe. Elle ne bougeait pas. Ma main remonta alors ...