1. La petite Sophie


    Datte: 30/08/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... me battait aux tempes. Ma tête me bourdonnait. Alors que Sophie devenait ma poupée, sans défense, à qui je pouvais faire tout ce que je voulais. À demi-consciente, perdue dans une sorte de brume cotonneuse. Je pris l’élastique de sa culotte pour le tirer vers le bas. Elle se laissa effeuiller. Elle se souleva même pour que la petite lingerie glisse sous ses fesses. Je fis passer la culotte sur ses cuisses, autour de ses genoux. Elle tomba à ses pieds, qu’elle agita nerveusement pour s’en débarrasser.
    
    Avec un sanglot étouffé elle écarta ses cuisses. Je ne respirais plus, alors qu’elle attendait, avec des petits miaulements. J’écartai les poils trempés de chaque côté de la fente, glissais dessus, de bas en haut, repartit. Puis deux doigts. Puis trois doigts. Ils s’insinuèrent entre les lèvres, les grandes, les plus petites en haut, toutes mouillées. Sophie hoquetait chaque fois, sa bouche collée à mon cou.
    
    Elle me tendit toute sa vulve. Mes doigts se mirent à aller plus vite, plus fort. Ils la triturèrent, se frottèrent contre sa chatte large et ouverte, multiplièrent les attouchements vicieux. Ses grandes lèvres gonflées s’ouvrirent sous la poussée de la chair interne. Elle avait un sexe brûlant alors que j’étais dévoré par la folie.
    
    Je fouillais entre ses lèvres gluantes et ça faisait des bruits mous, des chuintements qui m’excitaient encore davantage, la rendant folle de plaisir. Une odeur forte et aigre montait à mes narines.
    
    Mon doigt descendit le long de la ...
    ... fente, s’arrêta tout en bas, le logeais à l’entrée de son alvéole brûlant et détrempée. Je l’enfonçais prudemment à l’intérieur, mais elle se raidit avec un cri aigu car je venais de buter contre la barrière de l’hymen. Je la rassurai tout de suite.
    
    Ma main recommençait à balayer toute sa vulve. Elle se laissait bercer par cette caresse mécanique, sa respiration se faisait plus profonde. Elle était toute chaude, toute molle, toute béante.
    
    Je dégageai le petit bouton durci. Y posais un doigt dessus et une onde fulgurante lui traversa tout le corps. Elle arqua le dos, souleva son ventre, se tendit, avec un râle prolongé. Je dus faire un effort pour lui maintenir le visage contre mon cou.
    
    Mes doigts s’affairaient tous ensemble maintenant. Ils tournaient autour de son bourgeon, le faisant rouler, le titillaient, le faisaient bouger, Sophie haletait. Elle se tordait. Le plaisir gonflait, et brusquement, par longs spasmes, elle gicla en saccades brèves qui inonda ma main.
    
    Longtemps elle resta affalée, anéantie contre moi, le visage toujours caché dans mon cou. Il fallait rentrer, il se faisait tard. Je le redressai, la repoussais loin de moi.
    
    Le lendemain, nous attendions la fin des courts pour nous réunir de nouveau dans ma garçonnière.
    
    Là, je m’agenouillais devant elle et fis descendre sa culotte autour de ses cuisses. Très vite je me trouvais nez à nez avec le triangle de ses poils odorant. Mélange de sueur et de pisse. Je bandais. Mon érection était à la mesure ...