1. Essayage incontrôlé


    Datte: 23/08/2018, Catégories: fh, inconnu, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, occasion, Auteur: Pazapa, Source: Revebebe

    ... ne peut s’exprimer librement et c’est terriblement gênant.
    — C’est bien fait pour vous, dit-elle en riant.
    
    Je me mis moi aussi à rire, et pelotai maintenant ses fesses et son pubis sans faux-semblant.
    
    D’un doigt j’attrapai le haut de son slip par l’élastique de la taille et commençai à le faire glisser vers le bas, les mains repliées se frayant difficilement un passage entre le slip et la robe moulante. Tout au long de cette descente, je sentais le grain d’une finesse incomparable de la peau de ses fesses, la caresse rêche et excitante de la touffe de son ventre, et au creux de l’aine, je sentis palpiter une veine à fleur de peau.
    
    Je crois que rarement dans l’histoire des petites culottes, le chemin fut si long entre la taille et le haut des cuisses, jamais un slip n’a tant musardé en chemin au moment de dénuder les fesses et le ventre dont il était le rempart pudique.
    
    Les cuisses, les genoux, les chevilles, un pied levé puis l’autre.
    
    — Et voilà, dis-je en me relevant, ce n’était pas plus difficile que cela. Admirez la différence.
    
    Elle se retourna pour contempler le tombant du tissu sur ses reins dans une ligne désormais sans faux plis.
    
    — Elle n’est pas trop transparente ?
    — Évidemment, si vous vous placez devant une forte lumière, et qu’un quidam vous transperce de son regard, juste dans la perspective de votre entrejambe, il pourrait peut-être deviner les trésors que vous vous obstinez à nous cacher.
    — Je crois que pour ma part, je ne vous ai ...
    ... pas caché grand-chose.
    — Vous exagérez, car si mes mains ont fait la connaissance furtive mais néanmoins exaltante de votre intimité, mes yeux restent pour l’instant sur leur faim.
    — Vous êtes gonflé vous, tant que vous y êtes demandez-moi de me mettre toute nue devant vous.
    — Oh ! Non, pas tout de suite, laissez-moi d’abord vous admirer, dans cette robe qui vous va si bien, laissez-moi d’abord contempler chaque courbe de ce corps qui m’ensorcelle, laissez-moi d’abord imaginer avant de m’exalter devant votre beauté.
    — Vous aimez vous écouter parler, non ?
    — Oui, car j’aime les mots au même titre que le corps d’une femme, j’aime les tourner dans tous les sens avant de choisir l’angle et le profil qui les immortalisera dans le plaisir de celui ou celle qui les consommera.
    — Oui, mais vous les prenez alors, tels des objets esclaves de votre libido ?
    — Les femmes ?
    — Non, les mots,
    — Je les trouve hypocrites.
    — Les mots ?
    — Non, les femmes… et les hommes aussi… et les mots aussi d’ailleurs…
    — Pourquoi ?
    — Tenez, un exemple : si je vous dis « Vous êtes très belle, et si je devais mourir, c’est dans l’océan de vos yeux que je voudrais sombrer », vous penserez : ce type est un peu vieux jeu et rempli de convenances banales, mais le compliment est joliment tourné et je vais me fendre de mon plus beau sourire pour le remercier. POURTANT, SI VOUS SAVIEZ… continuai-je en forçant ma voix, ce que veulent dire ces mots, traduits en langage « mâlenrut ».
    — Dites toujours, ...
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