Essayage incontrôlé
Datte: 23/08/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
occasion,
Auteur: Pazapa, Source: Revebebe
Les journées sont souvent longues et monotones pour un homme dans le prêt-à-porter féminin, mais une de ces journées s’est terminée de manière étonnante.
Il était près de 19 heures et je m’apprêtais à fermer ma boutique, quand une cliente apparut dans l’entrebâillement du rideau, et me dit, avec un sourire propre à faire fondre toutes les murailles :
— S’il vous plaît, j’ai absolument besoin d’une robe de soirée…
— Mais madame, je ferme, repassez demain…
— Mais c’est pour ce soir qu’il me la faut, laissez-moi entrer, je choisirai très vite afin de ne pas abuser de votre temps.
J’avais une longue journée harassante derrière moi et hâte de rentrer, mais par flemme, peut-être d’avoir à parlementer :
— Bon d’accord, mais rapidement alors.
Je la laissai entrer et refermai le rideau derrière elle en disant :
— Je ferme derrière vous car je n’ai pas envie d’avoir une autre em…
Je me rattrapai à temps.
— Une autre cliente qui profiterait pour entrer.
Elle éclata de rire en me disant :
— Mais si, avouez-le, je suis une emmerdeuse mais vous, vous êtes un mec sympa.
Je la regardai alors attentivement, un peu agacé par son sans-gêne, mais irrésistiblement attiré par ses yeux rieurs…
— Imaginez-vous, me dit-elle, que tout à l’heure, essayant la robe que j’avais achetée pour ce soir, une cendre de cigarette est tombée sur le tissu en faisant un trou, juste ici sur le sein…
— Oui, oui… répondis-je machinalement mais en me laissant emporter par une ...
... rêverie incontrôlée dans laquelle j’imaginais un trou de cigarette sur son sein, mais large comme une main, me laissant voir le téton que j’imaginais bien sûr doux, d’une belle couleur brune…
— Où sont-elles ?
— Heuuu pardon ?
— Oui, où sont vos robes ?
— C’est ici, suivez-moi.
Je m’écartai pour la laisser passer.
Généralement, je laisse les clientes choisir elles-mêmes, mais ce soir-là je l’accompagnai pour la conseiller et réaliser la vente le plus vite possible. Mais ma véritable motivation se situait au niveau de la courbe tentatrice de ses hanches, et des expressions singulières qu’elle donnait à sa bouche.
J’oubliais complètement mon boulot de vendeur, et je restais derrière elle comme un con à respirer son parfum… Oui, c’est cela, son parfum, un étonnant mélange d’odeur capiteuse et de discrétion ambrée…
— Pensez-vous que celle-ci m’irait, demande-t-elle soudainement en me brandissant une robe noire, modèle pour lequel j’avais craqué en la découvrant dans le petit atelier d’où elle provenait.
Mon regard survola ses formes d’une manière toute professionnelle pour apprécier sa taille.
— Elle vous ira sûrement, mais il vous faut savoir qu’elle est très moulante et qu’elle demande à être portée sans aucun sous-vêtement, à part un petit string peut-être, rajoutai-je en souriant…
— Je vais l’essayer, dit-elle en se dirigeant vers la cabine du fond.
Je remarquai qu’elle n’avait pas complètement poussé le rideau, sûrement par pure négligence, pensai-je. ...