L'accord
Datte: 30/08/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
cocus,
candaul,
hotel,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
caresses,
intermast,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... certaine façon, elle a contribué à imaginer ta vengeance. Tu pouvais te contenter d’un homme. En choisir deux et deux comme sur la vidéo, ce n’est pas la preuve ça ? »
Elle me fait chier la « petite voix ». C’est déjà assez compliqué comme cela. Je n’ai pas besoin de me psychanalyser. Je suis déjà dédoublée. Une dans cette pièce. L’autre sur l’écran qui est en train de s’empaler lentement sur le gourdin, enculage rendu possible, car la salope a pensé à se préparer avec une autre bite, plus fine. Elle y est arrivée. Elle en a plein le cul la Camille. Elle se tortille autour de la cheville. Mais elle n’en a pas assez. Elle se relève, elle se tourne. Elle pose les pieds sur les bords du fauteuil, se penche en arrière, les cuisses bien écartées. Elle tourne le dos à son amant. Mieux elle s’appuie sur lui.
L’ont-ils fait exprès ? Mais maintenant, ils sont pratiquement face à la caméra. Sa chatte est grande ouverte, presque baveuse de ses premiers plaisirs. Le gourdin brille un peu, mais c’est vers son cul qu’elle le dirige… C’est vers le cul qu’il fait son chemin. C’est dans son cul qu’il disparaît, ne laissant que les couilles visibles.
Alors, c’est comme un appel. Le copain devenu spectateur se lève. Il enlève sa capote pour s’en saisir d’une neuve. La chienne de Camille pense à cet instant que vraiment elle a fait le bon choix, que le duo de mec est vraiment « Pro », qu’Éric a pensé à ne pas posséder la fente avec une capote qui avait goûté au cul. Pas de mélange ...
... des genres. C’est déjà assez mélangé comme ça.
Alors le salon se remplit de cris, de feulements, de gémissements. Ce sont eux qui ont « réveillé » la Camille repentante pour découvrir ce spectacle.
Mais la repentante et la salope ne font qu’une. La repentante se souvient de ces deux bâtons qui la possédaient. En réalité, c’est elle qui se possède avec. Mais la position est trop inconfortable. Éric la prend avec lui et vient sur le lit, chevauché par une cavalière dont la tenue n’a rien de réglementaire. Pas de casque, mais une chevelure ébouriffée. Pas de casaque, mais un soutif de pute. Pas de « breeches », mais un porte-jarretelles et des bas. Pas de cravache, mais une envie folle.
La repentante se dit que pourtant cela ne peut pas être elle. Qu’on l’a droguée ! Qu’elle hurle alors que le gourdin vient reprendre se place. Que de cavalière elle devient monture. Qu’elle n’est plus qu’un corps que deux hommes possèdent ! Que ce qu’elle voit de son visage lorsqu’elle se retourne pour regarder ce qui l’encule, qui l’encule ? Qui se retire et, arrachant la capote, vient l’éclabousser d’un foutre qu’elle voudrait goûter ? Que peut être la prochaine fois…
Non… Pas ça !
Je crois que j’ai crié. À moins que ce soit dans ma tête. Pour ne plus penser, ne plus voir, surtout ne plus imaginer une suite.
Oui, j’ai crié, car :
— Tu es là. Tu es venue au spectacle… Comme moi… Remarque, je comprends, moi aussi je connais ça, c’est toujours très bandant de se regarder ...