Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 11
Datte: 29/08/2022,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... venir atterrir sur mon dos, je l'espère fermée!
Étonnement, il prend le temps de se laver les mains, puis s'esbigne sans mot dire, c'est moi qui le maudis! Je reprends pied, me rafistole, rentre mes appâts dans leur logement étriqué puis me rince la bouche. Je vais devoir passer par la cuisine du bistrot, j'y ai laissé mon petit sac à main et mon rouge à lèvres a besoin de retrouver une jeunesse.
J'ai reçu trois autres pourboires dans ma soirée. Ils ont à chaque fois été très discrets pour solliciter mes services. La pièce faisait office de sésame, tel un film d'espionnage. Mais là, elle évoquait plutôt que monsieur bande que mister Bond! Aucun autre client du bar ne s'est douté de quelque chose, trop content de retrouver mes charmes à contempler au retour de chacune de mes escapades.
Au premier je me suis autorisée un petit plaisir avec la plus belle queue de la soirée alors que je la chevauchais sur la cuvette des toilettes. Il a dû me trouver motivée quand j'ai accéléré pour franchir ma ligne d'arrivée. J'espérais le faire jouir dans la foulée avec mes grands coups de cul, mais il a résisté un bon moment la tête bien calée entre mes seins. Moi qui ai besoin de faire une petite pause sensorielle après avoir pris mon pied, j'ai dû faire un effort démesuré pour continuer à m'activer sur son pieu avec le même engouement pour qu'il ne se doute de rien... ça m'en a carrément gâché mon récent plaisir. Les deux autres, des Laurel et Hardy de la gaudriole se sont presque ...
... enchaînés. Il n'avait que la taille de petit le maigrichon, mais la dimension ne fait pas tout. Impatient, brouillon, désordonné, subjugué par mes piercings qu'il n'a pas lâchés un seul instant, il ne lui a fallu que quelques aller-retour pour venir à bout de son désir.
Son confrère de scène, un gros adipeux, m'a fait profiter de son quintal pendant toute la durée de mon service. Il était plutôt répertorié dans l'autre catégorie, celle des peines à jouir, des coincés de l'orgasme, des tardifs du bigoudi gicleur. Suant à grosses gouttes, me maltraitant les miches avec ses battoirs de déménageur, il m'a prise debout, le ventre écrasé contre le rebord du lavabo. Ses bajoues collées en permanence à mon visage m'ont fait profiter de son haleine fétide. Il m'a besogné sans exploit, mais au rythme soutenu d'un marathonien éthiopien.
Le miroir me renvoyait une image de moi que je ne connaissais pas. Elle m'inquiétait, m'effrayait et surtout me dégoûtait. Comment pouvais-je accepter ça? Comment pouvais-je me laisser baiser par cet immonde poussah dans ce chiotte sordide sans réagir? Comment ai-je réussi à tomber aussi bas? Il en aurait presque eu raison le macho, j'ai l'air, ou tout du moins l'attitude, d'une salope en manque de queue en goguette un samedi soir. On n'est pas loin de la pute là!
Comme les autres, il s'est étonné de voir le rosebud entre mes fesses, il m'a même prise pour une inconditionnelle de la petite porte à le porter en permanence. Certains ont joué un peu ...