1. Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 11


    Datte: 29/08/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bycinolas, Source: Literotica

    ... sais te servir de ta bouche, met moi en forme.
    
    Même de plus près son chibre ne concourt pas au-delà de la troisième division amateur. En décalottant son gland une forte odeur d'urine m'accueille et me fait détourner la tête, encore un qui prend soin de son corps quand il a en le temps. Sa main agrippe ma nuque et vient me rappeler à mes obligations. J'attrape son bigorneau entre deux doigts à la manière d'une cup of tea lors d'une garden-party d'une lady et commence à l'astiquer dégoûtée.
    
    - Avec ta bouche connasse, si j'ai envie de me branler j'ai mes mains pour ça. Faut tout leur expliquer à ses jeunes campagnardes, de véritables godiches.
    
    Tu vas voir ce qu'elle te dit la jeune campagnarde, je vais m'en occuper moi de ton casque à pointe. Je vais lui faire passer l'envie d'agresser mes narines, lui faire goûter aux joies de mes canines, le décorer façon tenue d'un groupe de pop anglaise des sixties ... à rayures qu'il va finir l'animal. Ça lui passera l'envie de répandre à tout va ses effluves immondes et à se présenter devant une dame sans s'être fait lustrer le cuir!
    
    En rêvant de guillotine, j'ouvre la bouche et happe à contrecœur son odorant morceau de chair, révulsée. Son goût est à l'unisson du fumet dégagé, âpre, acide et rebutant. À peine un début de bandaison apparaît que j'en profite prestement pour lui enfiler son manteau et couper court à ses émanations indélicates. Cet artifice me permet de reprendre vie et de finir de lui donner forme dans de ...
    ... meilleures conditions.
    
    - Allez petite pute met toi à quatre pattes sur les chiottes et écarte bien tes cuisses! J'espère que tu vaux les deux euros que je t'ai donnés. Je ne comprends même pas pourquoi tu portes une culotte, une vraie perte de temps. Tu ne te balades jamais cul nu dans tes champs?
    
    Je m'apprête à l'envoyer balader, à lui dire qu'il peut se la mettre sur l'oreille et que la pute l'emmerde. Mais je me ravise, car même si son langage outrancier hérisse les poils de la féministe que je suis, mon refus aurait des conséquences plus douloureuses que celui de m'écorcher les oreilles. Miss badine traîne toujours dans un petit coin de mon esprit et j'ai trouvé Paul très taquin en début d'après-midi! Alors docile comme je ne m'imaginais jamais l'être, je me retrouve une nouvelle fois la culotte sur les chevilles dans la position demandée, en attente du petit biscuit de ce godelureau mal embouché.
    
    Lui qui dégageait un puissant bouquet me fait part d'une prestation sans saveur. Par contre, le monsieur a du vocabulaire et maîtrise tous les superlatifs les plus délicats. Il me donne, pendant sa longue carambole, un aperçu très complet de ses connaissances, « garage à bite », « pute à deux balles », « petit sac à foutre », ... et j'en passe. Je bous grave en entendant les élucubrations de ce rustre! Un coup de bassin plus appuyé que les autres m'indique la fin de mon cours de français.
    
    - Ne bouge pas avant que je sois sortie, m'intime-t-il, alors que je sens sa capote ...
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