Analyse
Datte: 28/08/2022,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
initiatiq,
Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe
... force. Elle soupire fort, je contrôle de mes yeux son visage, elle est détendue, les yeux fermés, le joint s’est éteint. Son cul est très, très bon, je la masse avec ma langue en fait, elle gémit, j’adore ça. Au bout d’un long moment, je viens chuchoter à son oreille :
— Le gel il est où ?
— Dans ma chambre, tiroir du bureau. Fais vite.
Je le trouve vite à la place indiquée. Mais plutôt que de continuer sur le canapé du salon, je l’emmène par la main dans la chambre des parents, on s’enlace et s’embrasse. Elle sort ma queue, et la branle doucement. Je la place dos à la glace, et écarte ses fesses. Ce cul perché sur ces talons, son anus, ô, mon dieu…
— Enlève mes chaussures, elles sont trop petites, j’en peux plus.
Une fois ceci fait, je la couche sur le lit, bien sûr côté pile, pour masser ses pieds et la détendre, et reprendre mes esprits pour moi aussi. Le contact du nylon est spécial, c’est doux et électrique à la fois. J’ai envie de les manger, elle refuse.
— C’est pas mes bas, et c’est pas donné tu sais.
— Déshabille-moi alors.
Ce qu’elle fait, lentement, rien que pour bien me frustrer.
Une fois nu, je m’installe sur le dos en vis-à-vis pieds côté miroir. Elle comprend de suite, se place en 69 et commence à me sucer. Je reprends mon forage avec ma langue, elle se frotte le clitoris sur mon menton. Elle tremble déjà, et s’arrête. Je l’interroge :
— Ça va ?
— Je me vois te sucer, ta tête dans mes fesses, putain, ça m’excite trop.
— On passe aux ...
... choses sérieuses, ma chérie ?
— Oui, franchement j’en peux plus. Prends-moi.
On se lubrifie mutuellement avec le gel, longtemps. Je la tourne un peu pour mieux la voir branler ma queue. Je suis très doux dans mes gestes, mais inflexible avec mes doigts. Je sens des fois que ça résiste un peu, mais je ne cède pas. Je guette ses signes, des fois elle grimace et se crispe, mais c’est très passager. Elle est de plus en plus dilatée, commence à suer de partout. Il est temps. Je lui demande :
— Tourne-toi, et viens sur moi.
J’écarte bien ses fesses. Comme la veille, elle s’excite l’anus contre ma queue. Mais pas comme la veille, elle se penche dans mon cou, et murmure à mon oreille :
— Vas-y, mon chéri.
— Vas-y quoi ? Dis-le.
— Encule-moi.
— Au fait, ça te plaît de dire des cochonneries, hein ?
— Graaave, ça me motive ! Encuuule-moi !
Je suis évidemment très excité, mais pas en panique comme hier. Avec l’aide du miroir, c’est facile de diriger la manœuvre, je vois tout bien comme il faut. Et c’est sans difficulté que mon gland la pénètre et marque un arrêt. Elle sue à grosses gouttes.
— Maintenant, vas-y, ma chérie, fais le reste du chemin, à ton rythme, je reste immobile.
— D’accord, merci.
Et je la vois doucement s’empaler sur ma queue, les yeux fermés, la bouche ouverte, dans un soupir sans fin. Elle est total dilatée, zéro douleur sur son visage concentré, bien au contraire. Une fois complètement englouti, je la force à m’embrasser, tout en la baisant ...