Le colis
Datte: 27/08/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
alliance,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
enfamille,
Auteur: Duby, Source: Revebebe
... dit-elle en se retournant de nouveau, gênée.
Nous étions silencieux, je continuais à la regarder.
— Je vais aller me rhabiller, dit-elle.
— Non.
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Sa réponse était sèche. Je ne m’y attendais pas.
— Approche, me dit-il.
— Hein ?
— Viens voir.
J’approchai, sans trop savoir pourquoi. Il fit un mouvement pour s’éloigner du dossier et au moment où je me trouvai face à lui, il me saisit par les hanches et se mit à embrasser mon nombril.
— Tu es bandante, tu sais.
Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. Je n’avais jamais vraiment pensé me retrouver dans cette situation. Ce n’est pas qu’il ne m’attirait pas, mais ma sexualité était tellement passée au second plan… J’étais sans doute un peu tétanisée par l’inédit de la situation. Les grandes baies vitrées de mon salon faisaient entrer des éclats de soleil qui réchauffaient la pièce. Je n’avais pas froid.
Mes hanches étaient dans ses mains, je sentais ses cheveux qui caressaient mon ventre, ses lèvres qui passaient autour de mon nombril. Il soupirait, inspirait…
— Ça restera entre nous. Tu as besoin d’être réveillée. Et tu en as envie, je le sens…ça sent la chatte là-dedans, conclut-il en passant le dos de sa main droite sur ma culotte.
Il recula, se mit contre le dossier.
— Viens.
Je l’enjambai et me trouvai désormais à califourchon sur lui, le regardant sans trop savoir comment me comporter. Car oui, maintenant, la situation ...
... m’excitait, mais je savais que je ne devais pas trop y penser. Ne pas voir les faits.
Il saisit ma nuque et m’approcha de son visage. Nous nous embrassâmes. À pleines bouches. Son excitation se ressentait dans la tension qui se dégageait de son corps, dans ses gestes saccadés. Un homme de trente ans, mais encore un jeune homme. J’aurais aimé m’engager pour maîtriser la bête, comme j’avais su le faire par le passé avec d’autres hommes. Ses mains me malaxaient déjà la poitrine, pressaient mes fesses, mes hanches. Tout mon corps était pétri. Cela faisait des années que je n’avais pas autant eu envie de lâcher prise et de me laisser prendre. Juste prendre.
En quelques courtes minutes, nous étions torses nus, la transpiration commençant à se faire sentir, au sens propre et figuré. Son jean était encore fermé. Son sexe à l’étroit se débattait déjà pour trouver une porte de sortie, comme une mauvaise herbe cherchant la lumière sous une bâche. Quant au mien, j’en ressentais déjà l’humidité profonde…
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Ils étaient sur ce canapé, livrés aux envies animales de leurs corps. Elle continuait de chercher sa bouche et sa langue. Il roulait ses tétons entre ses doigts puis s’échappait de cette bouche pour aller gober ses seins l’un après l’autre. Il mangeait son corps, en aspirait le parfum.
Sa main droite passa finalement sous sa culotte et il put ressentir la moiteur des lieux, l’humidité des poils pubiens fraîchement épilés. ...