1. Mes sauveurs


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, gros(ses), complexe, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, mélo, Auteur: Salima, Source: Revebebe

    ... retourner au pays… J’avais remis ma tunique traditionnelle mais ma culotte était poisseuse et je sentais des gouttes de sperme couler le long de mes jambes. Je dois dire que malgré notre conversation assez anodine, j’en étais assez troublée.
    
    Marcelle revint sur les coups de midi avec un caddy bourré de provisions. Elle ne parut ni surprise, ni jalouse de me trouver avec son mari et ne posa aucune question. Le couple me garda à déjeuner et je pris congé dans l’après-midi. Ensuite je suis rentrée chez moi et suis allée de suite dans la salle de bains, où je me suis mise entièrement nue. J’avais des traces de sperme partout sur les cuisses. J’ai pris une bonne douche pour me débarrasser de toutes ces souillures, regrettant presque d’avoir à en passer par là. Puis j’ai fait une lessive avec mes sous-vêtements et ma tunique.
    
    Cette première expérience, loin de calmer mes ardeurs, m’a donné encore plus envie. Le week-end fut terrible et j’avais hâte de retrouver Marcelle que je devais revoir le mercredi matin. Je refis un rêve érotique où nous faisions l’amour tous les trois, avec elle et son mari. Nous étions toutes les deux devant lui et le sucions chacune notre tour. Elle me disait : « Non, ne fais pas comme ça, tu vas beaucoup trop vite. ». Ensuite Alban insista pour que nous embrassions. Comme l’on ne voulait ni l’une ni l’autre, il partit pour aller en voir une autre. Je me retrouvai seule avec Marcelle qui à nouveau me pinçait les tétons.
    
    Je me suis réveillée ce ...
    ... matin-là en nage et complètement excitée. Mon mari l’a-t-il senti ? Il a tenu à me faire l’amour - plus de trois mois qu’il ne l’avait pas fait. Il m’a presque prise de force, la tête dans le traversin, et m’a baisée avec violence et sans amour. Après quoi il m’a à nouveau fait des reproches. Ces temps-ci, il me trouvait bizarre, il ne savait pas ce que j’avais. Et puis, au lit, il me dit je pourrais y mettre un peu « du mien ». Vu que je n’étais pas spécialement « bandante », il voulait que je sois beaucoup plus « salope ». Mais pour lui, je ne voulais être ni l’une ni l’autre, je n’avais pas envie. Il m’a giflée parce que je lui tenais tête. Ensuite, il est parti boire un coup avec ses potes au café. Son sperme en moi m’était insupportable. Je n’avais plus envie qu’il me touche ni qu’il pose les mains sur moi. Je me suis lavée en abondance pour éliminer toute trace de cet homme. J’aurais voulu pouvoir divorcer de suite.
    
    Le temps m’a semblé bien long jusqu’au mercredi suivant. Je ne pouvais aller voir mes patrons car je savais qu’ils étaient partis quelques jours en Bretagne chez des amis.
    
    Quand j’ai retrouvé Marcelle, elle m’a trouvé une « petite mine ». Je lui ai raconté tout ce qui s’était passé avec son mari et aussi avec le mien, le plaisir que j’avais eu avec Alban, le dégoût que j’avais envers Rachid. La seule chose que je ne lui ai pas racontée, c’est le désir que j’avais eu pour elle. Elle m’a longuement prise dans ses bras pour me consoler et m’a dit qu’elle ...
«12...789...»