1. Vendredi


    Datte: 25/08/2022, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, caresses, Oral confession, lesbos, Auteur: Lesbo Lover, Source: Revebebe

    ... semblait rude.
    
    Et le résultat est le même que dans le parking : je fonds rapidement dans ses bras, la laissant défaire un à un les boutons de mon chemisier, n’abandonnant pas ma bouche pour autant. Je gémis lorsque ses doigts frôlent la dentelle de mon soutien-gorge sans toucher à mes pointes qui ne demandent pourtant que cela. Isa prend son temps, ôtant mon chemisier pour bientôt s’attaquer à ma jupe. Un sursaut de pudeur me rappelle que mon bas est loin d’être coordonné et je regrette subitement d’avoir choisi le confort plutôt que la sensualité, retenant sa main un instant.
    
    — Attends, s’il te plaît…
    
    Prenant cela pour de la timidité, inattendue, mais touchante, elle accède à ma demande, m’entraînant alors vers sa chambre sans que je ne proteste la suivant en soutien-gorge et jupe qui masque encore mon horrible culotte qui me fait honte à cet instant. La pénombre de la pièce me rassure un peu sur la relative clandestinité qu’elle m’offre, tandis qu’Isabelle m’allonge sur son lit reprenant ses caresses, là où elle les avait laissées.
    
    Cette fois, j’ose enfin toucher ce corps qui se colle au mien caressant timidement son dos pour frôler ses fesses musclées que je sens à travers le tissu.
    
    Isa gémit, sans doute satisfaite par ma relative audace. Bien loin de la sienne qui lui fait libérer du soutien-gorge mes pointes dressées que bientôt elle frôle du bout de son ongle.
    
    — Hummm
    
    Ma réplique n’est pas originale, mais sincère !
    
    — Tu aimes, ma puce ?
    — ...
    ... Oui…
    
    Je ne relève pas le terme familier, trop troublée par ses caresses sur mes seins tendus de désir qu’elle libère totalement, jetant au loin leur carcan inutile.
    
    Je me cambre lorsque sa bouche remplace sa main, caressant maladroitement son chemisier que je fais juste sortir de son pantalon fluide accédant ainsi à sa peau douce.
    
    Je gémis cette fois sans discontinuer dépassée par les ondes de plaisir que sa bouche déclenche en moi d’autant que sa main se glisse sous ma jupe relevée par notre étreinte.
    
    Je me crispe un instant lorsqu’elle frôle à nouveau mon collant dont elle me débarrasse adroitement entraînant dans le même élan le reste de mes vêtements.
    
    Nue entre les bras d’une femme qui s’est mise dans la même tenue que moi, je n’éprouve plus aucune gêne, trop excitée par ces préliminaires si affolants que j’en oublie mon corps marqué par deux grossesses avec des cuisses un peu lourdes et des seins moins fermes qu’à vingt ans.
    
    Nos deux poitrines font enfin connaissance en se frôlant sensuellement, faisant frémir nos pointes dressées et sensibles.
    
    Le contact est excitant, d’autant que ses mains reprennent possession de mon corps moite de désir.
    
    — Tu es si belle, murmure-t-elle.
    — Arrête…
    — Si je t’assure. Tu me plais depuis des mois.
    
    Surprise par cet aveu, je la laisse poursuivre, me contentant de caresser le creux de ses reins.
    
    — Mais je ne savais pas que tu aimais les femmes.
    
    Elle sourit, mutine, ses yeux emplis d’une douceur propice aux ...
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