1. François et mon Q serré (1)


    Datte: 24/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Exemple18, Source: Xstory

    ... membre.
    
    Les légers coulissements de ce sexe me firent du bien et au fur et à mesure qu’ils prirent de l’ampleur, la sensation se mua en plaisir. Je recommençai à gémir lorsque François entreprit de long va-et-vient, bien agrippé à mes hanches.
    
    Encouragé par mes vocalises, ses coups de reins se firent plus rapides. Désormais, il réussissait à faire des allers-retours de toute sa longueur. Dans le miroir, mon visage se déformait de plaisir et je feulais comme jamais, ce qui excitait mon sodomiseur. Il grognait lui aussi de plaisir et transpirait sous l’effort.
    
    — Tu vois que tu aimes ça te faire enculer, petite bourgeoise ! Tu as un cul d’enfer, serré à souhait ! Putain que tu es bonne ! Un petit cul vierge y a rien de mieux ! Et comme je suis le premier, tu te souviendras de moi toute ta vie de petite chienne dévergondée ! Alors j’arrête ou je continue, dis-moi ?!
    
    — Continue, arrivai-je à glisser entre deux feulements.
    
    Les coups de reins se firent plus puissants, me soulevant le cul à chaque coup de butoir, m’arrachant des cris de plaisir bruyants. Le claquement de son bas ventre, contre mes fesses et mes cuisses, rajoutait à mon excitation et je m’imaginais comme une pouliche saillie par son étalon. Je perdis toute notion du temps. François pilonnait mes fesses comme jamais et je sentis un orgasme dévastateur arriver. « Plus fort » m’entendis je lui réclamer en criant presque, la tête enfoncée dans l’oreiller, mes mains agrippées au drap. « Encore, oui, ...
    ... encore, prends-moi le cul !»
    
    Les spasmes de l’orgasme commençaient lorsque qu’agrippé fermement à mes hanches, il se ficha au plus profond de mon ventre plaquant ses couilles contre ma vulve et réussissant tout de même à faire tournoyer son membre dans mon fondement avec son bassin.
    
    — Jouis salope, je t’encule à fond là ! Ça monte ! Je vais remplir ton cul de bourgeoise.
    
    — Vas-y, Ouïe, ouai, ouïe, oh mon dieu, je fus dévastée par les ondes d’un orgasme qui me terrassa. Mon ventre se contracta, de même que mon anus enserrant fermement la grosse queue de François qui palpitait, profondément enfoncée au fond de mes fesses alors qu’il éjaculait puissamment. J’eus l’impression de sentir les jets chauds malgré le préservatif. Mes sensations semblaient décuplées par cette jouissance anale à la différence d’un orgasme vaginal.
    
    Je m’écroulai sur le ventre le sexe de mon amant toujours fiché en moi.
    
    Il se retira doucement et alors que je plongeais dans une torpeur post-coïtale, les yeux à semi clos, je sentis François m’attraper doucement la tête et placer son gland gluant de sperme odorant sur mes lèvres.
    
    — Nettoie-moi bien la queue petite salope !
    
    Il enfonça alors son sexe dans ma bouche et machinalement ma langue tourna autour de son membre à moitié flasque, ne laissant aucune trace de semence que j’avalai mécaniquement au grand bonheur de mon amant. Ce nettoyage étant devenu pour lui un passage obligé lors de nos ébats.
    
    Il caressa mes fesses avant de claquer une ...