1. François et mon Q serré (1)


    Datte: 24/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Exemple18, Source: Xstory

    Après toutes les expériences vécues avec François, la routine de la vie conjugale reprit son cours rassurant et, dans mon esprit, cette période de sexe débridé, restait une parenthèse, et je voulais qu’elle le reste. J’avais tout de même constaté quelques changements. J’étais sexuellement plus demandeuse, au plus grand plaisir de mon mari. Je m’abandonnais plus facilement au plaisir !
    
    Et je le gratifiais quasi à chaque fois de pipes goulues.
    
    Bien sûr, je recroisais François à l’occasion. Ses clins d’œil et sa tendance à laisser sa main passer subrepticement sur mes fesses, me laissaient penser qu’il n’avait rien oublié de nos ébats.
    
    Malgré tout, nous ne fîmes que nous croiser, sans pour autant envisager à nouveau d’aller plus loin et six mois s’écoulèrent avant que nous nous retrouvâmes seuls dans une même pièce, où il entra alors que je faisais du rangement de papiers administratifs pour le club équestre où nous montions tous les deux.
    
    Alors que je classais des documents dans une étagère, il me salua d’un : « Bonjour Sabine » chaleureux auquel je répondis sans me retourner, absorbée par ma tâche. Ma concentration fut vite mise à mal lorsqu’il se plaça dans mon dos, attrapant mes hanches et me déposant un baiser dans le cou, me faisant sursauter et frissonner à la fois.
    
    Un « toujours aussi jolie et excitante » suivit cette manœuvre. Par provocation, et malgré un « merci » sorti de ma bouche, je fis mine de poursuivre mon travail. Cela le ne découragea ...
    ... aucunement et je sentis bien vite sa main sur mes fesses qu’il malaxa effrontément au travers mon pantalon d’équitation. Mon rangement se fit plus lent et il réussit à me déconcentrer de mon travail, que je continuai malgré tout. Visiblement cela ne lui suffisait pas car, bien vite, sa main passa sous mon pantalon et le tissu de ma culotte pour caresser mes fesses à même la peau, chose rendue possible par l’élasticité de ce type de vêtement de monte.
    
    Dès lors mes mains qui, jusque-là servaient à ranger les documents sur les étagères, ne me servirent plus qu’à m’appuyer sur celles-ci alors que François se mettait à malaxer chaque globe de manière appuyée. Imperceptiblement, je m’étais légèrement penchée en avant pour tendre ma croupe à la rencontre des massages de mon bourreau. Se sentant encouragé, il glissa sa main le long de mon sillon pour arriver à glisser deux doigts sur ma fente puis entre mes lèvres, m’arrachant d’involontaires gémissements de ma bouche.
    
    Un « t’aime ça finalement coquine » finit par entériner ma capitulation.« J’ai réussi finalement à te détourner de ta tâche, on dirait ».
    
    Il me fit me cambrer alors un peu plus, afin d’accéder plus facilement à ma fente, de mieux en mieux besognée par ses doigts virevoltants. Je haletais silencieusement, ne voulant pas ameuter quelqu’un même si à cette heure le club était désert. Il joua ainsi un moment, à alterner les va-et-vient entre mes lèvres et mon clito, facilités par l’humidité abondante de ma ...
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