Une vie pas comme les autres (4)
Datte: 23/08/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... d’habitude.
— Oui, mais toi, tu as toujours des sous-vêtements, tu ne te balades jamais à poil sous tes fringues.
— Sauf pour aller chez ma couturière.
Elle me sourit et nous sortons pour aller chez sa couturière. Nous prenons ma voiture, il fait très beau et elle est décapotée, c’est génial. Nous arrivons chez la couturière, c’est une jeune femme de notre âge, très jolie, habillée d’une tunique en coton blanc assez courte avec une fente sur le côté gauche. Elle embrasse Sophie d’un rapide baiser sur la bouche.
— Comment vas-tu ma chérie ?
— Très bien, et toi ?
— Ça va, ça va.
Elle vient vers moi pour me faire deux bises sur les joues. Elle va au fond de la boutique, nous la suivons. Elle lève les bras pour décrocher une robe, sa tunique monte, dévoilant les trois quarts de ses superbes fesses nues qui manquent un peu de bronzage, mais nous ne sommes qu’en juin. Encore une adepte du cul nu. Elle tient à la main une somptueuse robe bleu marine avec des reflets brillants. Sophie enlève sa robe, encore une fois, j’ai un petit coup au cœur en la voyant nue. Elle enfile la robe de sa couturière. Une fois le zip remonté, elle la moule comme une seconde peau, sauf vers la taille où il y a deux plis. Elle est assez longue, a un décolleté en pointe devant qui meurt juste au-dessus du nombril, laissant voir une partie de ses seins, un décolleté plus prononcé sur le dos, dégageant entièrement ses omoplates et son dos jusqu’à sa chute de rein qu’elle a ...
... somptueuse.
Quand Sophie se tourne pour que la couturière vérifie l’ensemble, je vois une fente sur le côté qui monte jusqu’à sa hanche, on voit très bien qu’elle n’a rien dessous, vertigineux. Elle est magnifique. La couturière se recule de deux mètres, la regarde intensément et avance.
Elle plonge une main dans son décolleté, s’empare d’un sein qu’elle met bien en place, elle fait la même chose pour l’autre. Sophie ne bronche pas. La couturière passe sa main dans la fente de la robe, j’ai l’impression que c’est plutôt une caresse de ses fesses, mais je ne suis pas en face. Elle tire sur le tissu pour le tendre, elle fait une marque avec un crayon spécial. Elle se recule et regarde Sophie.
— Cette fois, je crois que c’est la dernière, reviens mercredi, elle sera prête, enlève-la.
La couturière passe derrière pour baisser le zip et revient devant Sophie. Elle fait passer la robe par-dessus sa tête, elle se penche pour déposer un baiser sur son pubis, cette fois, j’ai une superbe vue sur l’ensemble de ses fesses nues.
— Toujours aussi doux et attirant, j’adore.
Sophie enfile sa robe et nous quittons la boutique. Une fois dans la voiture, je me tourne vers elle.
— Vous êtes amantes ?
— Oui, si tu n’avais pas été là, ça se serait terminé dans l’arrière-boutique sur sa table de travail, comme d’habitude.
— Pourquoi tu m’as fait venir alors ?
— Simplement parce que j’avais envie de passer un moment avec toi, et que je me rattraperais mercredi, ne t’en fais pas. ...