Une vie pas comme les autres (4)
Datte: 23/08/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... situation. J’enlève mon corsage et ma jupe, je m’allonge à côté d’elle. Elle me regarde en souriant.
— On n’est pas bien là ?
— Très bien.
Au bout de quelques minutes, je sens quand même le soleil devenir plus chaud, j’aimerais me passer un produit pour bronzer en me protégeant. Mais Sophie se lève et va plonger dans la piscine.
— Allez, viens, elle est excellente.
Je me lève et vais dans la piscine, mais je ne plonge pas, j’ai horreur de ça. Elle nage autour de moi, de temps en temps, je sens sa peau toucher la mienne. Je ne sais pourquoi, mais je ressens une sorte d’attirance pour elle, je m’imagine la caressant alors que jamais une telle idée ne m’avait traversé l’esprit. Elle me touche plusieurs fois en passant à côté de moi, je sens comme une boule dans le bas-ventre, mon corps réagit. Elle va se mettre contre un bord de la piscine, à un endroit où elle a pied et passe ses bras sur la margelle pour se reposer un peu. Je viens vers elle, elle me sourit.
— Ça va ma chérie ?
— Très bien.
Mais au lieu de me mettre à côté d’elle, je viens plaquer mon corps sur le sien. Je n’en peux plus, je pensais que ça allait venir d’elle, mais mon corps réclame un contact avec ce magnifique corps, en sentant son corps contre le mien, mon cœur explose. Nous sommes corps à corps, seins à seins, sexe à sexe. Elle me regarde en ouvrant de grands yeux. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, je pose mes lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche et nos langues ...
... dansent ensemble une samba endiablée. Ses mains se rabattent sur moi et caressent mon corps, je ne peux pas en faire autant, elle est contre le bord de la piscine. Elles s’attardent un peu sur mes fesses pour remonter sur mon dos. Mais j’en profite pour glisser une main entre nos corps et la poser sur son sexe. Mon majeur lui titille le clitoris, je ne quitte pas ses lèvres tant que je ne la sens pas se raidir et être secouée de spasmes, elle jouit sous mon doigt, j’en pleurerais de bonheur. Nos bouches se séparent.
— Que t’arrive-t-il ma chérie ?
— Tu n’as pas aimé ?
— Bien sûr que j’ai aimé, ça fait des années que j’attends ce moment, des années. Mais pourquoi aujourd’hui ?
— Je ne sais pas, les circonstances, l’ambiance, et surtout ton merveilleux corps bougeant nu devant moi, je n’ai pas pu résister.
— Mais tu as le même, il suffit de te regarder dans la glace pour voir un merveilleux corps.
— Oui, mais c’est le tien qui m’émeut maintenant.
— Cette conversation ne te rappelle rien ?
— Oui, tes vingt ans, mais c’est moi qui te disais que nous avions le même corps.
— Sortons de l’eau.
Elle me prend la main et nous sortons de l’eau. Je lâche sa main pour être derrière elle, je veux voir ses magnifiques fesses ruisselantes de gouttelettes d’eau danser devant mes yeux. Elle ne s’arrête pas aux transats, elle va directement dans sa salle de bain. Elle ouvre l’eau de la douche.
— Toujours une douche après la piscine, c’est plus sain.
Je la rejoins ...