La boulangère (2) - Histoires de Sexe

La boulangère (2)

... de langue pour venir nettoyer mon gourdin chocolaté, en profitant au passage pour me lustrer les couilles, quelque peu chocolatées elles aussi. Quel plaisir intense !

Elle se redresse alors, à genoux devant moi et étudie l’éclair entamé pendant quelques instants, avant d’avoir une idée, je le vois dans ses yeux. Elle prend l’éclair, presque vidé de son contenu et commence à l’utiliser comme une vaginette, me masturbant avec. Quelle imagination débordante ! Cela semble beaucoup l’amuser et la voilà qui rit tout en continuant ses va-et-vient. Je ris aussi, mais rapidement le gâteau se casse dans ses mains. Elle ne se démonte pas et de nouveau me nettoie la bite avant de me faire une pipe mémorable. C’est alors qu’en s’arrête et me dit :

— À ton tour !

Je me relève et descends de la table, la bite gonflée à bloc, toute veineuse, le gland rouge. Ma boulangère salope s’allonge alors là où je me trouvais. De mon côté, je choisis donc la tartelette aux fraises.

— Mmm, intéressant ! me dit-elle.

Je commence par défaire son soutien-gorge et sa superbe poitrine bien lourde s’en échappe d’un coup sous la tension relâchée. Je décide de mettre de côté la fraise entière et la chantilly pour utiliser en premier les lamelles de fraises. Je les prends et les dépose à mon tour sur tout son ventre, sa poitrine, ses lèvres et ses yeux. Aurélie ne pouvant voir, je commence alors à déguster chacun de ces morceaux lentement. Je commence par celui déposé sur son nombril, puis ceux ...

... sur son ventre, avant d’enchaîner avec ceux entre ses seins et sur ses tétons, et je profite au passage pour titiller ceux-ci et les mordiller. Elle commence déjà à gémir de plaisir. Je continue avec celui déposé au creux de son cou, sous son menton, avant de prendre celui sur sa bouche. Nous nous embrassons de nouveau. Enfin je la libère des deux derniers morceaux sur ses paupières. En ouvrant les yeux, elle me regarde et me dit:

— C’est la chose la plus érotique qu’on ne m’ait jamais faite !

Je lui réponds alors:

— Ce n’est pas fini !

Je lui prodigue alors de nombreux baisers sur tout le corps en descendant vers son pubis. Arriver à destination, je lui retire sa culotte en dentelle, elle m’aide en relevant son fessier de la table, puis une fois passée au-dessous de son fessier, elle lève alors les jambes vers le plafond pour que je puisse terminer de la lui retirer. Il fleure bon une odeur de mouille intense provenant de sa forêt trempée. Ce parfum m’enivre.

Je ramasse alors la chantilly que j’avais réservée pour l’appliquer sur sa chatte. Je termine par prendre la fraise entière et la coince entre ses lèvres, à l’entrée de son vagin. Rien qu’à l’effleurer avec ce fruit, Aurélie se tortille déjà et lâche quelques soupires de plaisir. Je descends alors et commence à venir lécher la chantilly délicatement, doucement. Je la regarde de temps en temps, elle me regarde et ne perd rien du spectacle. Je prends garde de bien contourner le fruit que son vagin tient et je ...