La boulangère (2) - Histoires de Sexe

La boulangère (2)

Voilà une semaine que ma boulangère Aurélie et moi avons baisé dans la boulangerie du village d’à côté. Ce fut l’une des expériences les plus excitantes de ma vie. Et voilà qu’elle m’avait donné rendez-vous de nouveau ce vendredi soir à la fermeture pour remettre ça. J’avais informé ma femme que je sortais boire un verre avec les collègues. Elle sortait aussi de toute manière.

J’arrive donc ce vendredi à la boulangerie un peu avant 19h et j’attends que le dernier client sorte, et lorsque je vois la petite boulangère coquine venant à la porte pour baisser le rideau, je la rejoins. Nous nous échangeons de grands sourires, je suis déjà terriblement excité, je n’ai pas cessé de penser à elle toute la semaine, et aujourd’hui davantage. Je rentre donc dans la boulangerie, elle baisse le rideau métallique et ferme la porte à clé.

Elle semble encore dans l’entrain du boulot et m’indique de l’attendre le temps qu’elle termine ses dernières tâches. Elle sera ensuite "toute à moi", j’ai hâte !

J’attends donc un bon quart d’heure, j’examine les moindres détails de cette boulangerie où je suis venu tant de fois en espérant me retrouver seul à seule avec elle. Soudain, j’entends le bruit de talons claquant le sol provenant des ateliers, dont le premier est ouvert sur la boutique. Ma superbe boulangère apparaît alors, recoiffée, maquillée d’un beau mascara et d’un rouge à lèvres carmin, vêtue simplement d’une superbe lingerie noire et rouge se composant d’un soutien-gorge, d’une ...

... culotte en dentelle et de bas autofixants. À sa vue, j’attrape un coup de chaud phénoménal et une vive érection se fait sentir.

— Alors, comment me trouves-tu ?

— Superbe ! Tu es bandante à souhait !

Elle rit un tantinet gênée, un tantinet flatté et rougit un peu.

— Suis-moi ! Me dit-elle.

Elle tourne les talons et se dirige vers un second atelier, caché derrière le premier. Elle marche lentement, je vois son cul dandiner et ma tête bat la cadence de sa marche de gauche à droite. J’aime tellement son corps, certes certains jugeront qu’elle a un peu trop de formes, ou trop de défauts, mais ils me plaisent, et son charme compense largement tout cela. Et puis, je préfère une vraie coquine réelle à une star du porno fausse.

En arrivant dans l’atelier, je devine rapidement s’il s’agit de celui utilisé pour la pâtisserie au vu des différents ustensiles présents. Que me prépare-t-elle ?

Elle se retourne et m’attend, appuyée les mains en arrière sur le plan de travail en inox de grande taille. Son regard est aguicheur et espiègle, elle trame quelque chose c’est certain. Je la rejoins et je la serre contre moi tout en l’embrassant. Un long baiser langoureux, où nos langues s’emmêlent, je sens ma bite pousser de toutes ses forces contre mon caleçon et mon chino, elle veut retrouver sa liberté. Pour ne rien arranger, Aurélie frotte sa main contre elle au travers du tissu, augmentant l’excitation et la douleur de cette érection.

— Il semble que tu sois déjà bien ...