Sa première fois - Histoires de Sexe

Sa première fois

... violent orgasme !

— Oh, Charles, c’est sublime, jamais j’ai ressenti ça ! Prends-moi maintenant, mais fais doucement, je suis vierge, aucun garçon ne m’a pénétrée, mais rassure-toi, je prends la pilule ! Je n’ai peut-être plus la petite peau, j’ai souvent été pénétrée par des doigts, mais, sois doux, pour que j’aie un magnifique cadeau d’anniversaire !

Je me mis en position, lui surélevant légèrement les reins avec un coussin, et approchai mon sexe de sa fente :

— Le veux-tu vraiment ?
— Oh que oui, vas-y !

Je pénétrai lentement, passant ses lèvres, m’enfonçant doucement dans un fourreau étroit, mais inondé et chaud, regardant Sabine dans les yeux. Elle écartait ses cuisses au maximum gémissant un peu. L’hymen, comme elle le pensait, n’existait plus, mais je sentis bien qu’elle était vierge, elle était tellement serrée, et en même temps je voyais dans ses yeux une envie d’apprendre, de sentir. Lorsque ma bite fut entièrement entrée, je me penchai sur elle et l’embrassai doucement :

— Merci, Sabine, pour ce beau cadeau.
— Merci à toi, Charles, pour ce moment.

Je me mis à faire des allers et retours, la surveillant, écoutant ses gémissements, ressentant ses contractions ; je me devais aussi de lutter contre une féroce envie ...

... d’éjaculer. D’une main j’allai à la rencontre de son clito, le caressant, elle se cabra, ma bite sortit presque d’elle, et retomba, comme inanimée. Je ralentis mon mouvement, lui donnai une petite tape sur la joue, elle me regarda et me dit :

— Jute en moi, maintenant que j’ai fait l’amour pour la première fois !

Je repris mes va-et-vient dans sa chatte trempée puis la prévins : « Je viens », en éjaculant dans son sexe. Je me retirai et me couchai auprès d’elle, la prenant dans mes bras . Mon sperme coulait le long de sa cuisse, sur ma cuisse.

— Merci, ma chérie, mais maintenant il faut y aller, je dois quand même m’entraîner, c’est bien pour ça que je suis venu te voir, lui dis-je en souriant.
— Oh oui, Charles, mais, dis-moi, nous referons l’amour ?
— Aujourd’hui même, si tu veux. Près du terrain d’entraînement, il y a une belle forêt.
— Faire l’amour en plein air ? Pourquoi pas ?

Après une toilette sommaire, j’allai chercher ma voiture, j’embarquai Sabine qui tenait la glacière du pique-nique, puis nous partîmes. Mes collègues me trouvèrent un peu « à côté de la plaque », et me charrièrent. Après les rangements, les saluts, je rangeai la glacière dans le sac et, prenant Sabine par la main, je l’emmenai pour une promenade en forêt…