1. Sa première fois


    Datte: 21/08/2022, Catégories: fh, hplusag, anniversai, caresses, intermast, Oral pénétratio, init, prememois, Auteur: Auteur inconnu, Source: Revebebe

    Dans ma jeunesse, j’étais président d’une Association de Jeunes dans mon village. Vingt-sept ans, célibataire, propriétaire d’une petite voiture de sport, courant des rallyes et en auto-cross ; bien des demoiselles « flashaient » sur moi, notamment les adolescentes qui fréquentaient mon association. Pour éviter tous les problèmes avec ces jeunes filles, j’avais décrété et le répétais haut et fort « Pas de flirt avec une membre de l’association, surtout mineure ! » Ce principe m’avait valu quelques « inimitées », mais je pouvais diriger mon association sans faire de sentiments.
    
    Cherchez la faille, vous la trouverez. Sabine a quitté l’association sur un motif mineur, mais cela me soulageait, elle ne faisait que susciter des bisbilles entre garçons avec ses façons de flirter, de passer de l’un à l’autre. Par ouï-dire je savais qu’elle n’était pas farouche, mais sans plus. Elle avait la réputation d’allumeuse, de suceuse, de « Marie-couche-toi-là » mais la suite du récit vous le fera comprendre.
    
    Un soir, elle arriva dans notre local, apparemment éméchée, nerveuse. Très vite elle s’en prit à une de ses « rivales » et un crêpage de chignons en règle s’en suivit. Dans la bagarre la miss renversa même une table et traita la responsable de noms d’oiseaux. Nous avons dû prendre la décision de l’exclure de l’association pour quelque temps. Je regrettais cet incident, car, en dehors de cela, Sabine était une jeune fille assez intéressante, n’avait-elle pas joué dans une pièce de ...
    ... théâtre en alsacien, alors qu’elle ne parlait pas le dialecte et avait appris son rôle phonétiquement ? En outre, elle s’occupait souvent des plus petits lors des séances de bricolage qu’on leur organisait.
    
    En tant que président, je dus aller informer les parents de cette exclusion, et j’en repartis avec une petite cuite, car, il est vrai, je sympathisai avec eux. Ils ne comprenaient pas non plus quelle mouche avait piqué leur fille, bientôt majeure, mais la maman trouvait qu’elle était souvent bizarre ces temps-ci : « on dirait qu’elle est amoureuse ».
    
    Je continuais à vaquer à mes occupations, remportant même une première place de classe dans ma catégorie dans une course de côte, ce qui me valut une certaine aura parmi les jeunes de l’association. Je croisais Sabine qui me demanda d’assister un jour à un de mes entraînements d’auto-cross, car mon écurie possédait un terrain d’entraînement et je lui promis de lui communiquer les dates où j’irais, tout en lui reprochant encore une fois sa « soirée de folie ». Elle me revit quelques jours plus tard et me demanda si je pouvais l’emmener dans quinze jours. Je lui répondis par l’affirmative et elle précisa qu’elle allait s’occuper du pique-nique et m’invita pour le petit déjeuner.
    
    Le jour dit, pour ne pas éveiller la curiosité des voisins, je laissais ma voiture sur un parking voisin et allai sonner à la porte des parents de Sabine. Ce fut elle qui vint m’ouvrir, à peine vêtue d’un short et d’un tee-shirt.
    
    — Viens, ...
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