Ma vie comme dans un X des années 70 (3)
Datte: 19/08/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
Quand elle est revenue de ses congés pris sans moi, Corinne ignorait que "je l’avais un peu cocufiée" en son absence, avec mon ex collègue Chantal, la sémillante quadra. Même en mode "porno 70’s" où tout est possible, je n’avais guère envie de me confesser. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle-même en ait autant à mon service. Elle était supposée partie chez une amie de lycée, dans le Sud-Est, non loin de Nîmes. La fille, que je n’appréciais qu’assez modérément et qui me le rendait bien, me semblait aussi sensuelle qu’une fin de corrida sous un soleil de plomb. On a le droit d’aimer ou détester, mais côté sensualité, on doit pouvoir trouver mieux.
J’ai préparé un dîner convenable, sans fleurs ni bougies, et débouché une bouteille de bourgogne blanc. Échanges de banalités ; Corinne me parle repos, dégustations de plats locaux, promenades. De sa copine avec qui le courant n’est pas trop passé : elles se sont même un peu engueulées, un soir. Corinne, énervée, est allée faire un tour, boire un verre. Seule. Deux types l’ont entreprise. Conversation aimable, "Des trentenaires, me dit-elle, pas des gens du coin." Entendez sans accent local. Elle a parlé avec eux. Elle ne pensait pas à mal : les types étaient sympas, ils ont passé un bon moment. Ensuite elle est retournée chez son amie, qui s’était endormie entre-temps, et fin de la soirée mouvementée.
On la refait, mode années 70.
— Chéri, ces deux mecs, tu sais, ils étaient vraiment pas mal. Des trentenaires ...
... sympathiques, genre communicants ou marketing. L’un brun, l’autre blond. Bonnes gueules, pas des play-boys, mais plutôt cultivés. On a parlé cinéma, musique... A un moment l’un des deux m’a proposé de changer d’air, j’ai dit OK. Nous avons rejoint leur BMW, on est allés dans un autre endroit, et en fait... c’était chez l’un des deux. Alors voilà, mon chéri... je t’ai trompé. Avec les deux. A un moment, je suis allée faire pipi, et quand je suis revenue, le blond, Philippe, m’a dit "Julien et moi on se demandait si un de nous deux pourrait te faire un peu de charme..." J’ai ri, et j’ai répondu "Je ne sais pas ; vous semblez charmants l’un et l’autre." Et ça a tout déclenché. Ils sont venus contre moi, très doux. M’ont caressé les cheveux, embrassée dans le cou... Et après, je ne veux pas te faire de dessins; mais...
— Si, si ! Au contraire, tant qu’à faire, autant que je sache si ça s’est bien passé !
Je ris un peu jaune ; j’ai vaguement les glandes, comme on dit. Mais n’ai-je pas moi-même pris du bon temps avec Chantal ? Si ça se trouve, on a fait nos affaires le même soir ; ce serait cocasse. En vérité, j’ai envie d’en savoir plus sur ce qui semble bien parti pour être un vrai truc à trois (à l’époque on ne dit pas "plan", mais "truc").
Corinne confirme. Si j’avais encore le moindre doute, ils s’envolent lorsqu’elle précise :
— Je les ai sucés ensemble. Enfin, à tour de rôle, rit-elle. Ils m’ont déshabillée mais laissé en petite culotte un moment, eux tous les deux nus, ...