Aurore ou la voie de la soumission (3)
Datte: 18/08/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Axelya, Source: Xstory
... fond de ma gorge. J’avale sans broncher avant de tirer la langue pour montrer que je n’en ai pas laissé une goutte.
Il me demande :
— Que penses-tu de ce petit-déjeuner ?
— Je suis comblée Maître.
— Comblée, tu le seras à la fin de la séance, sois-en sûre.
Deux de ses amis prennent sa place. Je les suce et j’avale leur semence.
J’ai mal aux genoux, des douleurs dans les bras et l’odeur de foutre qui règne maintenant dans la pièce me portent sur le cœur. Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir la séance complète. Quand le troisième homme introduit sa verge dans ma bouche, je sens tout de suite que quelque chose ne va pas. Tout d’abord, sa queue est énorme, bien plus grosse que celles qui ont précédé et surtout son goût est immonde. Je me débats, j’essaie de lui échapper. Il me saisit par l’épaule et me donne de grandes claques sur les seins. Je crie de couleur. J’entends les autres hommes ricaner. Mon tortionnaire n’en reste pas là, il saisit mon téton gauche et le pince avec force. La douleur me tétanise et il en profite pour remettre sa grosse verge puante dans ma bouche. Il s’enfonce aussi loin qu’il peut. Je ne peux plus respirer, mais il me maintient ainsi pendant plus d’une minute. Ce n’est qu’au moment où je vais m’évanouir qu’il relâche enfin son étreinte.
De la bave coule sur ma poitrine, je tente de reprendre mon souffle comme un poisson hors de l’eau.
Je prends une grande claque et le petit jeu recommence. Un des spectateurs murmure : « ...
... avec Maxime, l’épreuve est plus dure ». Au bout d’un quart d’heure, il éjacule enfin. Il y a tellement de sperme que j’en recrache une partie. Il m’attrape et me colle la tête contre le sol. Je dois lécher les gouttes qui parsèment le plancher.
Sucer les quatre derniers invités après Maxime n’est finalement qu’une formalité.
Au final, j’ai la semence de huit hommes au fond de l’estomac.
— Aurore, as-tu encore faim ? me demande Maître Luc.
— Non Maître, je n’ai plus faim.
Il me retire la cagoule. Je vois alors les hommes autour de moi, certains le slip encore baissé ou la bite flaccide qui pend hors de la braguette.
— Aurore, as-tu soif ?
— Oui Maître.
Il me désigne une bassine qu’ils ont disposée juste derrière moi pour protéger le parquet en chêne massif et m’ordonne de m’y agenouiller.
— Garde la bouche et les yeux bien ouverts si tu ne veux pas subir une véritable punition. Les petites claques de Maxime ne seraient que des caresses en comparaison.
Tous les huit se placent autour de moi et dans un ensemble parfait de verges redevenues molles, se mettent à me pisser dessus, inonder mon dos, mes seins, mes fesses et mon visage. Je suis un véritable urinoir public, dans l’avilissement le plus complet.
Le pire, c’est sans doute ce gros porc de Maxime qui a décidé d’uriner sur mon crâne rasé. Sa pisse coule dans mes yeux, sur mon visage. Je n’ai jamais été aussi humiliée de ma vie et, pourtant, le feu qui brûle dans mon ventre est sans égal. ...