Erina (1ere partie)
Datte: 18/08/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mysterious1991, Source: Hds
... «petit» cul, un boxer moulant et une paire de chaussettes blanches. J’ai posé le tout sur mon lit et je suis allé chercher mon eau de toilette Scorpio Intense dans la salle de bains. J’en ai vaporisé sur mon corps: sur mon cou, sur mes aisselles, sur mes poignets et sur mon bas-ventre. Là. Je sentais bon. Il était temps pour moi ensuite de m’habiller. Avec des gestes délicats, toujours sans me presser, l’un après l’autre, j’ai enfilé mes vêtements pour la soirée qui allait se passer. Une fois que ça a été fait, je suis allé jeter un œil à mon apparence et à ma tenue dans le miroir qui se trouve à côté de l’armoire. Le miroir me renvoyait mon reflet: un trentenaire, souriant, bien habillé. Beau gosse mais sobre. Sur ce, je me suis connecté à Internet sur iPhone et j’ai recherché les bonnes adresses, quelles qu’elles fussent, pour que je passe une bonne soirée, sans que je ne pense à quoique ce soit. Ça a été ainsi que j’ai jeté mon dévolu sur le Cafe Festival, un établissement bien connu ET bien réputé de la cité adriatique. Le Cafe Festival est réputé entre autres pour son cadre cosy et une ambiance jazzy en arrière-fond. C’était décidé: ça allait être là où j’allais me rendre et passer un bon moment.
Le Cafe Festival se situait dans une ruelle du cœur de la ville. Il n’était pas loin de l’hôtel où je loge. Mais je n’avais pas envie de m’y rendre tout de suite. Les journées étant longues, le soleil restant présent en soirée, la météo étant belle à Dubrovnik, je voulais ...
... profiter du ciel bleu et du soleil, de l’air doux et de la mer. Par conséquent, j’ai décidé de me balader en ville puis de me rendre sur le front de mer et la plage.
Un dernier coup d’oeil à mon reflet dans le miroir et je suis parti. Iphone? Ok. Passeport? Ok. Pass sanitaire? Ok. Chewing-gums et Tic-Tac? Ok. Tout était là dans ma petite sacoche noire en bandoulière. J’ai fermé la porte de ma chambre et j’ai marché dans le couloir pour prendre l’ascenseur. Une fois les quatre étages descendus et parvenu au rez-de-chaussée, je suis allé déposer ma clé à la jolie réceptionniste blonde de l’hôtel en service à ce moment-là et je suis sorti dehors.
(…)
Que c’est agréable de sortir le soir, dans une ville paisible, vivante et où il fait beau. Je marchais et je ne pensais à rien. Je me délectais de la joie de vivre des habitants et des touristes. J’en prenais plein les yeux et je trouvais les édifices, l’architecture typiques de la ville croate beaux à regarder. Ça valait le détour. Les écouteurs dans les oreilles, Hélène Ségara me chantait Elle, tu l’aimes.
L’air était agréable et le soleil était présent mais sans être assommant. C’était parfait comme contexte pour sortir un soir d’été. Alors j’ai flâné, erré dans les rues de Dubrovnik. En revanche, j’étais tout sauf une âme en peine. J’étais bien et c’était un petit plaisir de la vie auquel je m’adonnais. Je marchais, certes, seul dans la rue. Mais je croquais la vie à pleines dents. Je mettais mes cinq sens au service de ...