1. Cap ou pas Cap ?


    Datte: 18/08/2022, Catégories: fhh, grp, fbi, hbi, hplusag, fplusag, extraoffre, cocus, inconnu, vacances, plage, sauna, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe traduction, journal, Auteur: John Langlais, Source: Revebebe

    ... depuis mon arrivée que je croise un couple français, fin quadra (?). Elle a des cheveux bruns, presque noir de jais, petite, environ 1,60 m. Elle a des nichons lourds, qui pendent un peu, mais à savourer quand même. Cela passe bien entre nous trois. Je commence à les peloter. Elle ne fait pas de la résistance. Elle me caresse la bite, entre la main, entre les doigts. On se met d’accord pour accéder aux cabines. Nous nous installons tous les trois, fermons la porte, serviettes sur le matelas.
    
    — Je m’appelle John, et je suis anglais.
    — Enchanté ! dit la femme. Nous, c’est Dolores et Gilles.
    — Ah, mais Dolores, ce n’est pas un prénom français.
    — Si, elle répond.
    
    Je m’installe sur le dos, prends et déferle la capote, et elle s’empale sur ma bite. C’est un moment électrique, quand une femme mature, un peu forte, confiante de soi, se baisse, et que la bite entre, pénètre, au début doucement, puis plus fermement, plus profondément, dans la chatte. Et le rythme commence.
    
    Je joue avec ses lolos, roule ma langue auprès de ses aréoles, qui grandissent, pointent. Puis, je la tourne. Je la prends en levrette devant son mari, qui se contente de regarder. Maintenant, il entre en jeu. Elle lui pompe un peu. Je lui donne des coups de boutoir, en profite pour donner quelques légères fessées. Elle aime bien. Je commence à me sentir maintenant, plus confiant que quatre ou cinq heures auparavant.
    
    Soudain, il tape la tête de sa femme. Elle comprend tout de suite, mais moi pas ...
    ... tellement. Il s’allonge sur le côté, derrière elle. Gilles me dit que Dolores adore la double pénétration. Nous sommes tous les trois sur le côté, moi la prenant dans sa chatte, lui dans son cul. Elle l’adore, commence à crier fort. Je pense que c’est la bite dans le cul plutôt que celle dans sa chatte qui fait de l’effet.
    
    — Oh, arrête ! dit-elle.
    
    Gilles se retire, et moi aussi. Je n’ai pas joui.
    
    — Fais-la allonger sur son dos, me dit-il Gilles.
    
    Nous nous exécutons. Maintenant, retour à la classique, le missionnaire. Je fais des va-et-vient. Elle murmure des onomatopées, et puis elle chuchote dans mon oreille une question que je n’ai pas attendu.
    
    — Est-ce que tu es bisexuel ?
    
    C’est une question qui me fait un peu de peur, car difficile à définir. Il est vrai que quand j’étais ado, j’ai eu des expériences, mais ne suis pas allé loin. Suis-je fasciné par les bites des hommes ? Oui. Aimé-je les toucher ? Oui. Est-ce que l’une d’entre elles passe dans mon cul ? Fantasme, mais j’hésite, car je crains que cela me fasse mal…
    
    — Euh, pourquoi ?
    — Mon mari a quelques tendances comme ça.
    
    Mon souvenir me ramène deux ans en arrière, à ma première visite ici, quand j’ai passé un moment (peut-être dans la même cabine !) avec Bernard et Natacha. Lui, chauve, court, trapu, soixante ans ; elle, plus grande, cheveux courts, yeux intenses, cinquante ans. J’ai découvert que ce monsieur, une personnalité dans sa région, aimait bien sucer les mecs qui baisaient son épouse, d’être ...
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