Premier rendez-vous - Histoires de Sexe

Premier rendez-vous

... yeux rivés sur mes cuisses.

Je lui répondis sur un ton calme :

— Je porte vos bas en effet. Ainsi que votre porte-jarretelles, votre soutien-gorge et votre culotte, cela me paraissait de rigueur compte tenu de l’occasion…

C’est à instant précis que notre rendez-vous prit sa tournure coquine… Pascal devint en un instant le vicieux que je connaissais par écrit :

— Nathalie, vous ne m’en voudrez pas, mais je vais sortir ma queue… depuis tout à l’heure, je bande comme un fou, je n’en peux plus !
— Mais faites donc très cher, je vais tâcher de me mettre à l’aise également…, répondis-je en relevant un peu plus ma robe, de façon à avoir les cuisses totalement découvertes.

Pascal fit le tour de son bureau pour venir de mon côté et se posta debout face à moi, queue à la main :

— Putain, depuis le temps que je rêve de vous arroser, ma salope !

Il venait de prononcer les mots qui me faisaient instantanément de l’effet, ces mots crus, ces insultes qu’il m’écrit pour me faire jouir. Mais il voulait plus que ce nous avions prévu, et je lui fis remarquer tout en le regardant s’astiquer vigoureusement à quelques centimètres de moi :

— Vous voulez éjaculer sur moi ? Ce n’est pas ce dont nous avions convenu…

En disant cette phrase, je me fis l’image dans ma tête de ses jets de foutre atterrissant sur ma robe, et à cette idée je posai ma main sur ma culotte pour me caresser à mon tour sous le regard brûlant de mon amant virtuel, et sa réponse ne se fit pas attendre ...

... bien longtemps.

— J’ai pas craché depuis six jours, j’ai tout gardé pour vous ma salope, alors je vais vous arroser bien comme il faut votre robe de petite bourge, vos bas de pute et même votre gueule de chienne !

Mon esprit avait déjà totalement accepté la proposition visqueuse et vicieuse de Pascal, mais je continuais à refuser tout en me caressant en soutenant son regard, sachant qu’il allait sûrement enchérir davantage :

— J’espère que nous n’aurez pas l’indélicatesse de vous répandre sur moi. D’une part, je trouve cela répugnant, et d’autre part je n’ai rien pour me changer…

À ces mots, Pascal accéléra le mouvement de son poignet et dit d’une voix haletante :

— je vais t’en mettre partout, je vais te ruiner tes bas, te repeindre la gueule… Tu vas sentir le jus, la vraie chienne… je veux que tu gardes mon foutre sur toi toute la journée, comme une vraie salope… à moins que tu sois juste une petite joueuse, une allumeuse de bas étage… comme Vanessa…

Il venait de me comparer à Vanessa, la salope du secrétariat, celle qui m’avait agacée quelques minutes plus tôt à être aussi parfaite dans l’incarnation du cliché de la secrétaire sexy ! Mon esprit de compétition était piqué au vif…

— Vanessa et moi, on joue pas dans la même cour… votre jus est à moi, rien qu’à moi, et j’en veux pas une goutte à côté…

Bien que notre séance de masturbation n’avait commencé que depuis cinq minutes environ, Pascal était au bord de l’explosion :

— Putain, Nathalie, ça ...