1. Petit fantasme


    Datte: 16/08/2022, Catégories: f, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation fouetfesse, journal, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... exhibe mes nymphes, en révèle la longueur cachée, le rose plus sombre de leurs contours qui fait paraître encore plus vif le rose de la grotte. L’ouverture est encore plus révélatrice. Au-dessus de l’entrée de la grotte, un point plus mat dans les chairs douces, un point rond, un orifice étroit qui palpite lui aussi, muqueuse aussi trouble que le reste du sexe, aussi troublé, aussi. Et un peu plus haut encore, ce petit coquin qui pointe un nez rose nacré, un bouton qui a durci sous le regard que tu lui portes, sous le regard que je lui porte.
    
    Mes pouces se rejoignent sur le capuchon. Mes ongles prennent contact avec cette enveloppe qui fait comme un petit tuyau. À la commissure de l’ouverture béante, ce capuchon refuse la discrétion, hélas ! De cela aussi j’avais honte quand les copines du lycée me regardaient là ! Mais tes yeux se font durs. Tu exiges toujours plus. J’obéis.
    
    Mes ongles appuient sur le capuchon. Mes pouces se reculent, entraînant le dernier voile de mon intimité. J’offre à ta vue la perle ronde de mon clitoris. Je devance ton ordre. Je dépiaute au maximum le tendre capuchon. Voilà, mon clitoris est exhibé autant qu’il m’est possible, et ma grotte est envahie par la source qui la tapisse…
    
    Je suis restée un long moment ainsi. La chatte ouverte entre mes doigts, le clito décapuchonné par les ongles de mes pouces. Jusqu’à ce que mon sexe baigne de cyprine.
    
    Non, Aline, non, je n’ai pas joui. D’ailleurs l’aurais-tu permis ? Je rêvais, je frissonnais, ...
    ... j’attendais. Mon fantasme s’est développé tout seul.
    
    Toujours comme mue par tes exhortations affectueusement sévères, j’ai abandonné à regret d’écarquiller ma vulve. Je me suis levée. Debout, face a la glace, face à toi, j’ai retiré mon tee. Je l’ai jeté dans un coin de la chambre, loin, pour oublier toute envie de m’en couvrir.
    
    J’ai présenté mes seins blancs et lourds. J’ai pressé entre mes mains leurs globes tendus. J’ai pincé entre mes doigts mes larges aréoles roses et grumeleuses. J’ai serré entre mes pouces et mes index mes gros tétons durcis. Je les ai serrés et vrillés. Je les ai étirés. J’ai remonté ma poitrine en tirant sur mes bouts de sein. J’ai soulevé sa masse jusqu’à ce que mes mamelles s’allongent vers le haut, offrant la chair si fine, si tendre, si douce, si peureuse, du dessous des seins. J’attendais.
    
    Allais-tu les caresser avec des branches d’orties ? Allais-tu les flageller avec ce martinet ? Allais-tu les marquer de la pointe dure de ta cravache ? J’attendais…
    
    Mais dans ma tête, j’ai entendu ton désir. Je suis retournée m’allonger sur mon lit. J’ai repris ma pose initiale. Mes cuisses à nouveau en équerre, j’offrais à nouveau la vision de mon minou poilu et ouvert. Simplement écartée par l’attitude demandée, je tenais sagement mes mains éloignées de mon sexe chaud, de mes lèvres gonflées, de mes nymphes palpitantes, de mon bouton dur, de mon vagin bouillonnant.
    
    Tout mon ventre réclamait la pression de mes mains, le froissement des chairs, ...