1. Petit fantasme


    Datte: 16/08/2022, Catégories: f, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation fouetfesse, journal, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Il est bientôt une heure du matin. Les filles m’ont enfin laissé la place et je peux utiliser « mon » ordinateur… Si ça continue, je vais devoir en acheter un autre !
    
    Il m’est encore difficile de me servir de cette chose. Je ne maîtrise pas bien le programme de la boîte aux lettres, par exemple. Mais au moins je peux prendre mon temps pour écrire quand j’utilise les pages de Microsoft Word. Et j’ai envie d’écrire ! J’ai envie de délirer autant que je veux ici, dans l’anonymat qui m’évite toute pudeur.
    
    Hier soir, j’étais allongée à moitié couchée sur mon lit. Mon tee-shirt était bien sûr remonté sur mon ventre comme d’habitude quand je suis depuis un moment dans cette position. En face de moi la glace renvoyait l’image de la moitié nue de mon corps. Je ne voyais vraiment que la touffe foisonnante débordant de mon pubis caché par mes cuisses serrées.
    
    Je regardais cette tache hirsute, blonde, d’un blond roux, le blond vénitien que vantent mes amies et qui amuse Brigitte et Sandra. Lentement, j’ai tourné mon genou droit vers l’extérieur. Le buisson roux s’est peu à peu déployé. J’ai continué mon mouvement. J’ai tout doucement écarté ma cuisse. Les formes de ma chatte sont apparues. Mes grandes lèvres épaisses se sont révélées à ma vue. J’ai aimé cette vision. J’ai commencé à fantasmer.
    
    Je t’imaginais en face de moi. Tes yeux étaient le miroir. Ton regard fixait le spectacle que je contemplais. Tes yeux me demandaient plus. Tu exigeais que je me dévoile encore, Aline ...
    ... !
    
    Je t’ai obéi. Je me suis ouverte.
    
    Ma jambe gauche allongée. Ma jambe droite repliée, jetée sur le côté, largement écartée. Le sexe offert est apparu dans le miroir, dans tes yeux. La vulve proéminente, cette forme presque obscène qui me gênait quand j’étais jeune, se fendait d’une entaille rose comme un écrin autour des festons ourlés de mes petites lèvres. Je savais que tu dévorais des yeux cette fleur humide et déjà odorante. (Oui, je l’avoue, j’aime mes arômes intimes.) Ce parfum pervers aurait dû me faire honte.
    
    Mais c’était trop tard ! Tu avais vu, tu avais senti, je n’avais plus rien pour me cacher, pour nier cette évidence, je n’avais plus qu’à obéir, à continuer de te révéler mon intimité, à te l’exhiber…
    
    J’ai écarté encore plus ma cuisse. Elle faisait maintenant un angle droit avec l’autre. Ma chatte bâillait. Mes nymphes s’entrouvraient. Ma grotte rouge se montrait, impudique, au milieu de la forêt de poils roux, de leurs mèches entortillées. C’est vrai, Aline, l’hiver je me néglige un peu. Je fais moins attention à entretenir un buisson plus civilisé. Mais ils sont si pratiques ces tortillons de poils !
    
    Regarde, je peux les attraper avec mes doigts et tirer dessus. La fente s’ouvre mieux comme ça. Les grandes lèvres s’écartent tout large. Elles paraissent plus grandes encore. Les plis se lissent sous la tension que je leur impose. Ma moule est tout ouverte, luisante, presque brûlante de honte et de trouble, prête à pleurer…
    
    L’ouverture obscène ...
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