Brunch dominical
Datte: 15/08/2022,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
préservati,
fdanus,
fsodo,
piquepince,
totalsexe,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... d’intégrité.
Olga plongea un doigt dans l’escalivada et huma l’odeur des boulettes bien dorées et cuites à point.
— À table ! J’ai une faim de loup.
Olga laissa tomber au sol son peignoir, Philippe son plaid, et c’est nus que tous les trois prirent place à table, sous le regard du voyeur de voisin. Philippe avait pris soin de lancer une superbe piste de lecture de piano, avec des mélodies douces et apaisantes. Tout le monde avait faim, ils se régalèrent de ce brunch improvisé et finirent tous les plats, dans un silence qu’Élodie aimait tant. Les mélodies du piano parlaient pour eux.
Comme toute la nourriture, qu’elle avait préparée, avait été consommée, Élodie repartit en cuisine. Elle avait vu des flans dans le frigo. Elle demanda à Philippe s’il avait un petit chalumeau pour improviser une « crema catalana ». Cela consistait à brûler du sucre roux sur le flan pour en faire une crème brûlée improvisée. Olga regarda Philippe et Élodie rire tous les deux en cuisine, en manquant de se brûler en allumant la flamme. Elle les trouva mignons et complices, regrettant son comportement égoïste et son refus de partager son homme, après bien des promesses engageantes de sa part.
Olga s’échappa brièvement à la salle de bains et en revint, cachant des choses à l’angle de la bibliothèque, avec visiblement une idée en tête.
Une fois ce dessert fort simple et malin ingurgité, Philippe servit des cafés, avec un mini verre de cognac de l’année de naissance d’Élodie. Tout ...
... le monde trinqua en communion, Élodie manqua de pleurer, juste en sentant l’odeur du cognac. Elle y trempa ses lèvres, puis décida de boire tout d’un seul coup sec, un peu comme à la russe, mais sans jeter le verre par terre derrière elle. Il y avait une belle harmonie fraternelle dans l’air. À peine les verres posés sur la table, les yeux noirs d’Olga glacèrent l’ambiance.
— Mon Philippe, je te laisse exceptionnellement sodomiser la petite, là, sur la table. Mais je ne veux pas que vous fassiez l’amour. Juste une sodomie pour que tu me venges de ce que cette petite salope m’a fait subir ce matin.
L’ambiance passa du chaud au froid. Olga savait y faire pour retourner les situations. Le regard de Philippe trouva celui d’Élodie dans la seconde et ils restèrent ainsi en fusion. Ils avaient envie l’un de l’autre depuis longtemps. L’autorisation qu’ils attendaient tous les deux venait enfin de tomber, même si ce n’était pas exactement celle qu’ils attendaient.
— Lève-toi ma chérie, et toi aussi mon amour !
Élodie obéit et resta droite une longue minute. Elle savait qu’Olga savait. Sa machine à cyprine, contre laquelle elle luttait depuis qu’elle était ado, s’était mise inexorablement en marche. Des petites gouttes allaient se former entre ses cuisses, perler et rapidement couler le long de ses cuisses. Élodie se sentait perdue, trahie par son corps. Même si le regard protecteur de Philippe l’aidait, voir sa queue lentement se lever et bander ne l’aidait absolument ...