Brunch dominical
Datte: 15/08/2022,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
préservati,
fdanus,
fsodo,
piquepince,
totalsexe,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
(Lire ou relire : «La rencontre », «Les seins d’Olga », «Le fist », «Cunnilingus », «Douche et dîner érotiques », «Ciseaux du soir », «Réveil du samedi », «Matinée de révision », «Déjeuner et shopping », «Cocktail du samedi soir », «Sauna échangiste » et «Dimanche matin : la revanche d’Elodie »)
Philippe se réveilla quand la petite quitta ses bras pour s’arracher à la chaleur du plaid dans lequel ils s’étaient « coucougnés » depuis des heures, sans se parler. Élodie n’était pas une grande bavarde et s’exprimait mieux en ne disant rien, mais en faisant deviner les choses. Elle se sentait tout simplement protégée par cet homme et cette intimité silencieuse avait fait son bonheur. Elle suçait son pouce régulièrement quand elle était seule, mais avait osé le faire pour la première fois de sa vie en présence d’un homme.
Philippe, en regardant cette gamine d’apparence frêle et fragile, se rappela pourtant l’avoir vue défoncer sauvagement Olga avec un gode-ceinture énorme avant d’enchaîner sur un fist anal. Elle s’était ainsi vengée d’Olga qui, assez injustement il est vrai, l’avait refusé à lui. Il faut dire que son épouse avait un peu promis la chose à Élodie, avant de se raviser.
Suite à cette sodomie magistrale, Olga, épuisée, endolorie par ce qu’elle avait subi, s’était endormie et Élodie avait voulu absolument quitter la chambre. Philippe l’avait prise par la main et ils avaient été se réfugier sur le canapé du salon. Ils n’avaient ...
... pas fait l’amour et étaient juste restés blottis l’un contre l’autre et s’étaient rendormis à leur tour.
Philippe regarda la petite ouvrir les rideaux et voilages, prenant tout son temps pour exposer sa nudité, sans problèmes, à tous les voisins. Comme toute étudiante douée, Élodie apprenait vite les leçons. Elle n’avait plus honte de s’exhiber et, au contraire, cherchait à savoir si le voyeur de la veille était à son poste d’observation.
Ce qu’elle avait fait le matin même, aux dépens d’Olga, aurait pu être une sorte de transmission de flambeau, car elle avait imposé sa loi à l’hypersexuelle dominatrice. Olga avait pourtant des fragilités terribles, recherchant toujours l’aval de Philippe dans des moments cruciaux pour elle. La belle quadra, en apparence si sure d’elle, se transformait alors en femme terriblement soumise, sous le joug de la virulence de ses amants qui la défonçaient.
Élodie se rendit à la cuisine et fit comme à la maison, se sentant un peu comme chez elle. Elle se mit aux fourneaux, son petit ventre criait famine. Elle ouvrit le frigo, les placards, le congélateur de ce couple étonnant. Il était presque treize heures et Élodie avait envie de manger des plats d’enfance, ceux qui réveillent les émotions. Elle voulait partager cela avec Philippe, lui offrir un peu de son intimité, de son pays, de son éducation, de son passé. Elle se lança dans la confection improvisée d’un brunch catalan.
Elle avait trouvé tout ce qu’il fallait pour préparer une « ...