1. Un si gentil toutou


    Datte: 14/08/2022, Catégories: fh, extracon, bizarre, Oral préservati, pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... réponse :
    
    — En général, c’est trois-quatre fois. Parfois cinq…
    — Ah oui, quand même ! Et toujours la même quantité ?
    — Oui, la même…
    
    Pas mal d’hommes sont limités à un ou deux coups, d’autres approchent ou dépassent la dizaine. Entre ces deux extrêmes, bien des variations. Mais la grosse moyenne se situe du côté de deux-trois, selon ma propre expérience, si j’exclus mon mari qui a beaucoup plus de répondant. Cela étant, ce Marcelin ne fait rien comme les autres ! Je suppose qu’un amant qui remet le couvert douze fois, ça doit finir par être épuisant s’il fait à chaque fois, mais il paraît que certaines femmes jouissent par paquets de dix !
    
    — Je dois reconnaître que vous êtes un bon amant…
    — Oh, vous dites ça pour me faire plaisir, Sandra !
    — Pas du tout ! J’ai beaucoup apprécié votre cunnilingus.
    — Vous dites la vérité ? Vraiment ?
    
    Je m’étonne de sa réaction :
    
    — Pourquoi j’irais vous mentir à ce sujet ?
    — Eh bien, pour me faire plaisir.
    — Je vous rassure, Marcelin : si un homme est nul, je le lui dis carrément.
    — Vous êtes cruelle !
    
    Je mets les points sur les i :
    
    — Non, je suis réaliste. De plus, ça évite à cet homme de se faire des illusions. Et peut-être qu’il sera plus à l’écoute de la femme qu’il besogne laborieusement !
    — Vous êtes vraiment cruelle !
    — Si vous saviez le nombre d’hommes pour qui ça se limite à deux-trois pitonnages, et zou, ils balancent la purée ! Et sans préliminaires avant la pénétration ! Et en plus, ils ronflent juste ...
    ... après, épuisés par l’effort !
    
    Mon amant s’étonne franchement :
    
    — Ah bon ? Ça existe vraiment, ce genre d’homme ?
    — Je vous le confirme, j’y ai parfois eu droit, et ce n’est pas folichon.
    — Ce… ce n’est pas le genre de la maison.
    — C’est bien ce que j’avais cru comprendre. C’est pourquoi j’ai voulu vous essayer tout de suite, pour avoir confirmation.
    — Merci, Sandra.
    — Pas de quoi, Marcelin. Appelez ça l’intuition féminine. Vous avez un nez à détecter les foufounes à l’air. Moi, le mien commence à savoir détecter les mauvais coups !
    
    Il se met à rigoler franchement. Il est nettement plus beau quand il rit ou même quand il sourit. Je sens qu’il n’y aurait pas grand-chose à faire, à changer, pour en faire un homme au bras duquel une femme s’affiche sans complexe.
    
    En parlant de complexe, c’est justement sans complexe que sa tige se redresse déjà, ce qui est bon signe pour moi. Je constate avec plaisir que mon pouvoir de séduction fonctionne toujours sur la gent masculine. J’aime énormément susciter le désir chez un mâle ! Contrairement à ce que je fais la plupart du temps, avec Marcelin, j’ai décidé de me modérer. Il est vrai que quand j’utilise la queue des hommes, j’y vais de bon cœur. Mais là, je n’ai pas envie d’effrayer ou de casser ce si gentil toutou.
    
    Je m’allonge à nouveau sur le lit, puis lui faisant signe, j’écarte largement les jambes :
    
    — Allez ! Venez mettre votre bonne queue en moi, vous en mourrez d’envie, n’est-ce pas ?
    — Je… je peux ?
    — Bien ...
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