1. Trois pour l'apéro, ce n'est pas de trop = (1)


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... s’affaire déjà, Violetta ne met pas les mains, c’est seulement le balancement de son buste qui fournit la pompe. Elle aspire fortement, surtout quand elle ressort ma pine et qu’elle amène les lèvres sous le gland, à ce moment, elle exerce une succion digne d’une trayeuse à vache. Elle pompe en se titillant les pointes de sein et moi, je me laisse faire sans oser entreprendre quoi que ce soit.
    
    La porte d’entrée s’entrouvre et je vois Frédéric poindre du bout du nez :
    
    — Vous avez commencé sans moi les petits coquins, lance-t-il, comme si rien d’étonnant ne se déroulait sous ces yeux.
    
    Violetta, la bouche pleine, se contente d’un grognement aigu, et moi, je reste coi, et même un peu embarrassé. Pas au point de débander, mais quand même. Frédéric se comporte en habitué des lieux, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il est déjà à poil ! A poil, avec des nu-pieds ! Putain, quel morceau ! La bite de Frédéric est une infirmité, une massue ! À côté de la mienne, on dirait un rouleau de printemps à côté d’un nem dans la même assiette !
    
    Violetta n’a pas lâché la manœuvre en cours ; elle me pompe toujours aussi ardemment, même si à l’arrivée de Frédéric, elle a instinctivement relevé son bassin en sortant ainsi de la position accroupie pour être, maintenant, en position levrette. Frédéric ne s’y trompe pas, sans même y mettre un doigt, je le vois s’approcher et touiller la moule de la femelle, sa queue à la main. Violetta frétille, elle accélère sa pipe d’une ...
    ... manière un peu désordonnée, jusqu’à ce que Frédéric la prenne sévèrement en la tenant par les hanches. Il doit avoir l’habitude des parties à plusieurs, sûrement plus que moi, parce qu’au bout de quelques minutes, il la pilonne dans le tempo de ses pompes et tout va bien. Frédéric est un besogneux, il sait que c’est dans la longueur qu’il déclenchera la curée et portera l’estocade finale. Il est droit comme un clerc, son visage n’exprime ni joie, ni emballement, ni lassitude. Un pro.
    
    Violetta me lâche parfois le temps de reprendre son souffle. A chaque poussée de son baudet, ses ongles entrent dans la peau de mes cuisses sur lesquelles elle prend appui pour ne pas perdre l’équilibre. Je ne connaissais pas cette addition de plaisirs propre au triolisme : associer à une jouissance déjà éprouvée, donc connue, celle nouvelle du voyeurisme, c’est le pied. Quand je regarde Violetta se faire défoncer par Frédéric, j’en oublie que sa bouche est pleine de ma queue et qu’elle-même savoure autant les sensations qu’elle offre que celles qui la pénètrent. D’ailleurs, je ne persiste pas trop à mater Frédéric, parce qu’il n’en faudrait pas plus avant que j’envoie la purée dans le gosier de la belle.
    
    A un moment, tout s’est emballé, Violetta s’est mise à gémir, et puis à hurler :
    
    — Fous-moi, Frédéric, fous-moi jusqu’au fond !
    
    — Comme ça ou comme la dernière fois ?
    
    — Dans mon cul, connard, dans mon cul, tu le sais bien ! Et toi, tu vas enfin le donner ton jus, ou tu veux que je ...