1. Trois pour l'apéro, ce n'est pas de trop = (1)


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    Je n’ai pas écrit depuis un certain temps. A vrai dire, ces derniers mois c’était un peu la disette, jusqu’à ce que ma voisine Violetta manifeste de l’intérêt sur ma personne et, comme je n’ai rien à vous cacher, voilà ce qui s’est passé.
    
    Un jour de juillet, vers midi, je descends dans l’entrée de mon immeuble relever le courrier, et j’y trouve la brune Violetta, lancée à trier le contenu de sa boîte aux lettres et mettre dans la poubelle toutes ces publicités qu’on reçoit encore trop souvent sans les avoir demandées. Elle me serre la main en affichant son plus beau sourire, lequel, à lui seul, est une promesse de volupté.
    
    — J’ai invité Frédéric, le voisin d’en haut pour l’apéro, ça vous dit de vous joindre à nous ? me lance-t-elle sitôt après les civilités d’usage.
    
    — Euh... Oui, bien sûr. Je n’ai rien de prévu. A quelle heure ? répondais-je, un peu surpris de la proposition.
    
    — Maintenant, si vous voulez, il est déjà onze heures trente, Frédéric nous rejoindra lorsqu’il débauchera, propose-t-elle.
    
    Sans autre forme de procès, je me retrouve assis dans son salon, dont les doubles rideaux, un peu tirés, laissent la pénombre à peine transpercée d’un rayon de soleil. Il faut dire que l’été, les appartements exposés au sud sont de vraies étuves.
    
    — Tu me laisses quelques instants ; le temps de préparer les festivités et je suis à toi. Mets-toi à l’aise.
    
    J’ai rêvé où elle vient de me tutoyer !!!
    
    — Je t’en prie, je patienterai...
    
    J’attrape une revue de ...
    ... jardinage qui traîne sur la table basse alors qu’elle s’affaire dans sa cuisine... Au bout de dix minutes, levant le nez, je suis surpris de voir ses pieds nus juste de l’autre côté, à un mètre de moi. Je ne l’ai pas entendue arriver. Machinalement, mon regard remonte des pieds vers le haut et là... Et là... Je vois qu’elle tient à hauteur de la taille un plateau avec des verres vides et des coupes remplies d’amuse-gueule et c’est tout ce qui masque sa nudité intégrale.
    
    — Violetta, tu vas prendre froid, dis-je, sans trop réfléchir, certes, mais surtout pour me donner un air détaché.
    
    — Oh, tu sais, à cette saison, je suis toujours à poil dans l’appartement ; justifie-t-elle, en posant le plateau et en s’asseyant, les jambes croisées, sur le pouf devant moi.
    
    Je pense en la regardant que jamais je n’aurais imaginé cette quinqua aussi bien roulée. Ces cheveux courts, teintés corbeau, lui donnent un air plutôt sévère ; mais dès qu’elle sourit, son visage s’illumine et prend parfois des mimiques de petite fille. Sa poitrine est haute et pulpeuse ; son ventre plat, et son fessier, plutôt large, à ce que j’en vois. Sa toison, brune également, est finement taillée, ne laissant apparaître qu’un délicat ticket de métro. J’ai envie de cette femme.
    
    — Vous, les mecs ; depuis « Me too », vous n’osez plus draguer vos voisines ; et pendant ce temps, on se met un doigt... ou deux, d’ailleurs !
    
    — C’est vrai que c’est devenu moins facile, on se méfie, on pense que les emmerdes peuvent ...
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