Histoires de cocus (extra)ordinaires (11)
Datte: 12/08/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... qu’elle vienne ainsi s’empaler sur lui, puis qu’elle s’allonge quasiment contre son corps, offrant la moule au plus gourmand.
Jean-René s’approcha et lui bouffa la chatte et elle semblait apprécier le contact de sa barbe sur ses chairs hyper-sensibles. Elle gémissait tout en tortillant du cul, ce qui fait que le mec qui la sodomisait n’avait même pas besoin de bouger.
Puis quand le mec eut la barbe pleine de mouille, il s’approcha pour la piner.
Je n’ai jamais vu ma femme jouir comme ça. Non qu’elle jouisse en silence, au contraire, elle est très démonstrative mais elle le fait sans crier. Soit elle gémit, y compris la bouche pleine, soit elle parle en accélérant le rythme, mais sans augmenter le volume, à mesure que l’orgasme déferle. Cela peut donner : "Encore... encore... encore, encore, encoreencoreencore... corecorecorecorecooooooooooooor" ou "C’est bon... c’est bon... c’est bon. bon, bon bon bon bonbonbonbon boooooooooooooonnnnnnnn..." sans oublier les "vas-y... vas-y... vas-y, vas-y, vasyvasyvasyvsaysyyyyyyyyyyyyyyyyy" et autres "ma chatte... ma chatte... ma chatte ma chatte ma chatte ma chatte chatte chattechattechattechattechatte... hmmmmm... dans... ma... chatteueueue.....". Et j’en passe.
Donc là, elle jouissait comme jamais, mais il est vrai que je ne l’avais jamais vue avec tous les orifices occupés à la fois.
Quand Jean-René éjacula, lui aussi sur les seins, Bertrand vint se faire sucer. Walter remit ma femme debout penchée au-dessus de la ...
... table pour la prendre par-derrière, tantôt dans le con tantôt dans le cul. Il éjacula sur les globes fessiers, Alain ramassa le sperme du bout de sa bite, puis la planta dans le con où il acheva de tirer son coup en poussant bien à fond.
Il ne restait que moi. Elle se mit à genoux, pressant ses seins l’un contre l’autre dans un mouvement rotatif pour les masser réciproquement et étaler le jus tandis que je masturbai au-dessus et lui expulsai tout au visage.
Les mecs nous congratulèrent, échangèrent des adresses avec nous au cas où nous voudrons revenir ou les rejoindre, puis il y eut douche collective où l’on célébra les exploits de chacun et, qui vers son camion, qui vers le village, qui vers la tente, tout le monde fut se coucher. La plupart prirent congé, devant se lever tôt pour reprendre la route, sans être bien sûr de pouvoir nous saluer. Tous nous proposèrent bien sûr de nous prendre à leur bord, mais nous répondîmes que nous n’avions pas de plan d’arrêté et que ce serait en fonction de notre réveil que nous ferions route avec l’un ou l’autre, ou en reprenant l’autostop.
Allongés l’un contre l’autre, nus sous la chaleur de la tente, je demandais à ma femme:
— Alors tu as aimé ?
— Oulala... je suis cassée et fourbue... je vais m’endormir d’un coup.
— On en reparle demain ?
— Si tu veux.
Alors, prenant un sein dans la main et tétant l’autre, j’attendis ainsi un moment avant de lui dire "bonne nuit" et sombrai dans le sommeil.
A suivre.