Histoires de cocus (extra)ordinaires (11)
Datte: 12/08/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Brigitte enfin saisit sa culotte. Le black, immobile un moment, gueula :
— Eh, c’est pas du jeu, c’est pas du jeu... Tu ne m’as pas embrassé !
— Si !
— Tu parles, un petit bisou de rien. Rends-moi mon trophée.
Et il s’élança à sa poursuite.
Il la touchait presque au moment où elle reprit pied sur la berge, mais elle n’eut pas le temps de se redresser complètement et de se mettre à courir. Il fondit sur elle, et ils s’abattirent sur une serviette.
Tout le monde avait vu sa queue majestueuse, tendue comme un rostre vers ma femme pour l’éperonner.
Bien sûr, elle se débattit et il ne lui permit que les mouvements qu’il voulut bien, c’est-à-dire ceux suffisants pour qu’elle se remette sur le dos. Ainsi, à cheval sur elle, sa bite contre le ventre qui se soulevait au rythme de la respiration haletante, il lui bloqua les poignets. La main droite crispée sur la culotte, elle ne la lâchait pas.
Il cherchait sa bouche. Elle secouait la tête pour s’y dérober. Nous étions six à faire cercle autour d’eux. Les mecs bavaient devant le spectacle de cette femme superbe à la peau très blanche, recouverte par un mâle noir en rut, tout en surveillant du coin de l’œil ma réaction.
— Allez, embrasse-moi, j’ai gagné.
— Je t’ai déjà embrassé merde !
— Tu parles, un petit bisou de rien, j’veux mon gage, un vrai bisou, baveux, avec la langue.
Et il cherchait de nouveau la bouche, qu’il rencontrait souvent, mais sans parvenir à l’ouvrir.
— Allez !
Elle croisa ...
... mon regard où elle dut lire de la lubricité, d’autant que, la surplombant, elle vit ma queue tendue sûrement avant d’apercevoir mes yeux.
— Bon... si je le fais, tu me laisses après ?
— Promis.
Alors il lui roula une galoche enfiévrée qui dura une éternité. Elle se détendit, lâcha la culotte. Le gars lui libéra les bras en continuant à l’embrasser.
Les spectateurs sifflaient et applaudissaient tout en continuant de m’épier pour savoir si j’allais mettre un terme à ce baiser très chaud qui durait longtemps. Les plus jeunes se branlaient lentement, considérant sans doute ma bite de plus en plus dure comme un blanc-seing.
Enfin, Hyacinthe retira sa langue de la bouche de ma femme. Il descendit un peu pour poser sa tête sur un des seins, mais joue sur le côté vers moi pour croiser mon regard, sa langue chatouillant le téton dur.
Sans doute voulait-il me défier, mais il vit lui aussi mon sexe dressé et mon regard impassible, alors il goba le téton en posant sa main sur l’autre sein.
— Eh ! On n’avait pas convenu ça, protesta Brigitte, sans faire un mouvement.
Il s’arrêta, me regarda à nouveau et, comme je ne bronchais toujours pas, il recommença.
Brigitte me fixait avec son air de Sainte Nitouche, qu’elle sait prendre quand elle a envie de quelque chose. Elle me fait des yeux de coker, se mordille légèrement la lèvre inférieure, porte son index à sa bouche d’un air de dire : "S’il te plaît, dis oui ! C’est une bonne affaire tu sais", comme quand elle veut ...