Madame la Directrice - Histoires de Sexe

Madame la Directrice

... malaxant doucement.

— J’ai toujours aimé caresser une belle queue bien dure.

Commençant à apprécier la caresse, je me suis alors mis à gémir tout doucement, puis de plus en plus fort, montrant à cette dame que j’appréciais la punition de mon impudence.

— Tu aimes te faire branler ? C’est vrai qu’avec ce que tu as vu tout à l’heure, il n’en faudrait pas beaucoup pour que tu me gicles directement à la figure.
— C’est très bon ce que vous me faites. Ça me donne beaucoup de plaisir !
— Eh bien, mon petit vicieux, je suppose que tu aimerais que je te la suce maintenant ?
— Oh oui ! S’il vous plaît, sucez-moi, faites-moi tout ce que vous voulez… C’est bon…
— Je ne m’en priverai certainement pas, et tu me diras si les petites minettes que tu fréquentes savent aussi bien tailler une pipe qu’une vieille mioche comme moi.

Sans me laisser le temps de répondre, elle m’avait déjà embouché la queue, s’activant du gland à la base sans perdre le souffle. Après plusieurs minutes de ce traitement, elle m’a demandé :

— Aimerais-tu mieux que j’appelle une petite vicieuse comme toi pour finir cette pipe ?
— Non, Madame. C’est de loin la meilleure que je n’aie jamais reçue… C’est vraiment bon, vraiment trop bon… Je pense que je vais jouir, Madame… Je sens que je vais jouir bientôt !
— Allez mon petit, ne te retiens pas, envoie-moi toute la sauce, j’adore sucer des queues et avaler tout ce qu’elles peuvent me jeter au fond de la gorge. C’est d’ailleurs pour cela qu’on me ...

... surnomme Miss Laval… si tu vois le jeu de mots.

N’ayant pas vraiment entendu et encore moins compris sa phrase, j’avais commencé à lui décharger mes couilles au fond du gosier. Madame qui, malgré la quantité abondante de sperme qu’elle recevait en pleine gueule, n’en avait pas perdu une seule goutte, rattrapait avec la langue celles qui lui perlaient au coin des lèvres. Elle se délectait de cette crème blanche qu’elle semblait trouver très savoureuse. Je repris mes esprits alors que Madame finissait de nettoyer les dernières traces de mon plaisir. Elle me demanda :

— Bon Dieu, ce qu’elles étaient pleines ces couilles ! J’ai failli m’étouffer tellement j’en ai reçu plein la bouche. Dis-moi, jeune homme, depuis combien de temps tu n’avais pas joui ?
— Quatre ou cinq jours.
— Quatre ou cinq jours ! Mais, à ton âge, il faut venir plus souvent que ça, mon garçon.
— Oui, je viens habituellement plus souvent, mais ce soir, je voulais être en pleine forme pour fêter mes dix-huit ans. Nous avions prévu, mes copains et moi, de passer toute la nuit à faire la fête dans les bars du coin…
— Mais c’est qu’il y en avait du foutre dans tes couilles, mon petit ! J’en ai rarement avalé autant d’un seul coup.
— Euh ! Désolé Madame…
— Ne te désole surtout pas, je suis une friande de ce "sirop de corps d’homme", crémeux et si savoureux que j’en prendrais deux ou trois rasades par jour… Allez, maintenant que tu t’es si généreusement vidé dans ma bouche, il faudrait peut-être que tu me rendes ...