1. Madame la Directrice


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, fplusag, inconnu, fête, anniversai, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral bourge, Auteur: Sined, Source: Revebebe

    Bonjour aux lectrices et lecteurs de Revebebe. Je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée il y a de ça trente-cinq ans et qui est toujours demeurée pour moi comme le souvenir d’un jour mémorable, celui où j’ai fêté mes dix-huit ans. Elle sera écrite en québécois mais je ferai attention d’utiliser des mots ne sortant pas trop de notre argot, au plaisir de nos amies et amis français.
    
    J’étais alors unchic beau bonhomme d’un mètre quatre-vingts, aucun kilo en trop, ayant une vie de sportif au naturel, qui attirait les regards de ces dames. J’avais réussi à me dégotter une job - oui, au Québec on dit <i/une job et nonun job - dans un chic hôtel des Laurentides. L’épouse du Directeur Général, recevant des invitées de marque, a demandé au maître d’hôtel de lui désigner un jeune serveur discret, et méritant de passer une soirée… dans le genre soirée qu’on n’oublie pas, tant par le "paye check" que par l’aventure à y vivre.
    
    Moi, Alex, célébrant le jour même mon passage à l’âge adulte, je fus interpellé par mon patron qui me demanda si, par hasard, je me sentais d’attaque pour me faire un peu de temps supplémentaire à la maison du Grand Boss. Ayant grandement besoin de ce fric, les études universitaires me coûtant la peau des fesses, je ne pouvais refuser telle offre.
    
    — D’ac, boss !
    — Alors, marché conclu. Présente-toi à 14 heures précises, en tenue impeccable, à la résidence du D.G. au pied de la montagne. Madame t’informera du déroulement de la soirée. Je te la ...
    ... souhaite toute belle et un joyeux dix-huitième, mon Alex. Souviens-toi qu’en ce jour, ton patron a été bon pour toi…
    
    Pourquoi m’avait-il dit cela et quel genre de soirée me réservait donc Madame la D.G. ? J’arrivai chez elle un peu avant 14 heures, m’assurant ainsi de ne pas impatienter Madame. Je sonnai et attendis dignement qu’on daigne me répondre. Au deuxième coup de carillon, une femme vêtue d’un négligé quelconque, milieu quarantaine, bien en chair comme la plupart des femmes de cette génération et de même situation sociale, vint me répondre.
    
    — Bonjour Madame, je suis Alex… Le Maître d’hôtel m’a demandé de me présenter ici pour vous servir.
    — Bonjour Alex, je suis l’épouse de Monsieur le Directeur, et l’hôtesse de cette soirée. Suis-moi, je vais t’en expliquer le déroulement.
    
    Elle me conduisit alors à la salle à manger pour me transmettre ses instructions.
    
    — Il fait chaud aujourd’hui, tu veux une bière ?
    — Non, merci.
    — Allons, le jour de tes dix-huit ans tu as bien droit à cette petite gâterie. De plus que ce soir, nous serons entre amies…
    — Bon, d’accord, si vous insistez…
    
    Revenant avec deux bières bien froides :
    
    — Pour cette soirée, nous devons être complices, tout comme les deux plus grands amis du monde. Tu dois me promettre de ne jamais rien révéler à qui que ce soit, sauf à mon mari et à moi-même, de ce que tu auras vu, entendu ou fait ici. Ça te va ?
    — Euh… Oui. Enfin, je crois.
    
    Voyant mon inconfort, elle a ajouté de ne pas m’en faire, ...
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