1. L'éducation de Juliette (5)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... de ce rythme, je lançai ma chatte à la rencontre de sa bite.
    
    — Oh mon chéri ! C’est bon, plus fort plus vite, défonce-moi.
    
    Mais Jean conservait la cadence qu’il avait adoptée. Il me mordillait en même temps les tétons. Soudain, il m’abandonna.
    
    — Oh non ! Continue chéri.
    
    Il se coucha sur le dos et me fit m’empaler sur lui. Dans cette position, tout le monde pouvait voir sa bite défoncer mon minou. Soudain, je sentis deux mains se poser sur mes fesses. Un gland se présenta à l’orée de ma rosette. Je voulus protester, mais Jean m’en empêcha. Il écarta mes fesses, le gland força mon anneau ; mon cul ayant été assoupli depuis de longs mois ; mes sphincters s’ouvrirent et la queue me pénétra jusqu’aux couilles. Elle était énorme, j’eus l’impression d’être ouverte en deux. J’étais prise en sandwich. Une bite dans la chatte, une dans le cul, j’étais comblée. Malgré ma honte, ou à cause d’elle, ma jouissance atteignit un paroxysme. Mes deux baiseurs accordant leur cadence me limaient les deux trous. Je jouissais sans arrêt. Soudain, Jean cria.
    
    — Alors les mecs, il lui reste un trou à combler, n’y a-t-il pas de volontaires ?
    
    Ahmed se précipita, la bite à la main, et se présenta devant ma bouche.
    
    — Suce salope, suce la bonne bite d’Ahmed.
    
    Au point où j’en ...
    ... étais, je l’engloutis. J’étais prise par tous les trous. Vous parlez d’un dépucelage. Des mains s’emparèrent de mes seins, tirèrent sur les tétons, les pinçant, je jouissais comme une folle. Ma chatte était une fontaine. Après de multiples orgasmes, je n’en pouvais plus. Soudain, je sentis mon enculeur se contracter, d’un coup, il me lâcha son foutre au fond des intestins en longues giclées chaudes. Cela déclencha un orgasme supplémentaire. Jean suivit de près et m’inonda la chatte, puis ce fut le tour d’Ahmed que j’avalais jusqu’à la dernière goutte. Mes trois baiseurs se dégagèrent. Je pus enfin voir celui qui m’avait comblé le cul. C’était Arsène. Quand je vis sa bite qui, bien qu’au repos avait une taille impressionnante, je me demandais comment il avait pu m’enculer. Allongée sur le dos, la chatte ouverte, je récupérai. Jean s’adressa aux femmes.
    
    — Il faudrait faire la toilette de la mariée !
    
    Les femmes se précipitèrent et entreprirent de me lécher la chatte et le cul, avalant le sperme qui coulait, et déclenchant de nouvelles jouissances.
    
    Puis ce fut aux hommes présents de vouloir profiter de ma petite chatte juste déflorée. Je les reçus tous les uns après les autres, ou en même temps.
    
    Au matin, épuisée, Jean me ramena à la maison.
    
    Quelle nuit de noces ! 
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