1. L'éducation de Juliette (5)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... et Arsène reboutonnait. Car c’était lui le meneur de jeu qui faisait tout. Moi je devais rester immobile. Un objet. Au bout de deux heures enfin le dernier bouton céda, ma robe gisait à mes pieds. Un cri de victoire partit du côté des hommes. Arsène me prit par la main et me fit faire quelques pas sur la table. Je gonflais la poitrine, cambrais les reins, me déhanchais d’une manière provocante. Puis me faisant écarter les cuisses, il me fit pencher en avant.
    
    — Admirez messieurs dames ce joli slip. Il est trempé, il sent bon la jeune pucelle excitée (il me caressa l’entrecuisse). Voyez comme elle jute, c’est un plaisir.
    
    Rouge de honte, je me laissai faire, comme Jean me l’avait ordonné.
    
    Les mâles allaient se battre maintenant pour mes dessous. Arsène changea la règle ; nous passâmes aux enchères à l’américaine. Une bougie fut allumée. La dernière enchère, au moment où elle s’éteindra, remportera d’abord le soutien-gorge, puis le slip. J’étais de plus en plus excitée, par la séance de déshabillage d’abord, puis maintenant par tous ces regards braqués sur moi, sur ma chatte qui ne pouvait dissimuler son excitation, avec ses grandes lèvres boursouflées qui débordaient de chaque côté du slip, et le clitoris qui tendait le tissu. Personne ne pouvait ignorer mon état. Les mecs placés en contre-bas ne pouvaient pas ne pas voir que je mouillais de plus en plus, car j’avais gardé les cuisses écartées. Mes oncles et cousins n’étaient pas les derniers à me reluquer. Les enchères ...
    ... allèrent beaucoup plus vite pour mes dessous. Un de mes oncles emporta mon soutien-gorge, et Arsène se battit comme un diable pour obtenir mon slip, qu’il gagna de haute lutte contre mon patron.
    
    Il m’enleva lui-même son trophée qu’il porta aussitôt à son nez pour humer mon odeur. Quand je fus nue, un grand silence s’installa dans la salle. Tout le monde pouvait admirer ma chatte rasée, mon clito, mes grandes lèvres gonflées qui trahissaient mon excitation. Je voulus remettre ma robe. Arsène intervint aussitôt.
    
    — Non, tu restes comme cela.
    
    Je regardais Jean qui approuva de la tête. Arsène me fit descendre de la table, ce qui m’obligea à écarter les cuisses, offrant ma moule à tous les regards. La musique reprit. La soirée continuait. Nue à l’exception de mon porte-jarretelles, de mes bas et de mes chaussures à hauts talons, j’étais un appel au viol. Tous les mâles présents voulurent danser avec moi. Le premier à obtenir cette faveur fut mon oncle. Depuis toujours, il s’était intéressé à moi, me prenant sur ses genoux, me caressant la poitrine sans que j’ose protester. Il ne pouvait manquer cette occasion de me serrer nue contre lui. Les musiciens avaient abandonné l’estrade, et des disques avaient remplacé l’orchestre. Bien sûr, on ne mettait plus que des slow ou tango. Les hommes voulaient profiter des danses pour se frotter à leurs partenaires. Mon oncle me serra contre lui. Je me laissais aller.
    
    — Tu sens ma bite petite salope.
    
    — Oui tu bandes fort.
    
    Il me ...
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