1. L'éducation de Juliette (5)


    Datte: 10/08/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... couilles. Au bout de quelques instants de ce régime, je ne pus me retenir et je partis à longues giclées qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte.
    
    - Je crois que Juliette a fait une bonne affaire, ta bite est belle, ton sperme a bon goût, voyons voir si tu es capable de faire jouir une femme.
    
    Et disant cela, elle passa ses jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil. La salope n’avait pas de culotte. J’avais sous les yeux une chatte splendide, bien ourlée, déjà ouverte. La pipe lui avait fait de l’effet, car elle était toute mouillée.
    
    - Viens me lécher, viens boire ma mouille.
    
    Je ne me fis pas prier. M’agenouillant à ses pieds, je lui saisis les cuisses pour les écarter encore plus et je plongeais ma tête dans sa fourche. Ma langue s’enfonça dans sa chatte pour boire le jus de sa jouissance. J’adore cette liqueur de femme, ça me fait bander comme un âne. Je lui aspirai les grandes lèvres, le clitoris qui avait déjà atteint une taille très appréciable. Ma langue se faisait agile pour lui apporter cette jouissance que son corps réclamait. Je parcouru son entrecuisse, m’égarant parfois vers son anus où je m’attardai. Loin de lui déplaire, cette caresse semblait la mettre dans tous ses états. Elle s’avança au bord du fauteuil pour que je puisse atteindre mieux sa rondelle. Ce que je fis, lui enfonçant la langue le plus loin possible. Cet enculage lingual lui fit pousser des cris de jouissance.Abandonnant son cul, je remontai vers sa chatte, la récurant de ma langue ...
    ... râpeuse, puis je remontai vers son clitoris que je mordillai, elle se mit à éjaculer comme un mec, sa mouille jaillissait de sa chatte à grands jets. Je n’avais jamais vu ça. Je collais ma bouche sur sa fente pour la boire. Quel délice.
    
    - prends-moi maintenant, je t’en prie, défonce-moi.
    
    Je me redressai, je n’attendais que cela, malgré sa pipe de tout à l’heure, mes couilles étaient douloureuses. Je m’apprêtai à lui emmancher la chatte quand elle se retourna et se mit à quatre pattes sur le fauteuil.
    
    - Je ne prends plus la pilule alors j’aime mieux que tu m’encules.
    
    Je ne me le fis pas répéter deux fois. Je pointai mon gland sur sa rosette. Elle était tellement mouillée et avait sûrement une telle habitude que je m’enfonçai d’un coup jusqu’aux couilles. Elle poussa un hurlement.
    
    - Je t’ai fait mal ?
    
    - Non, mais c’est trop bon ; j’adore me faire enculer. Vas-y, fais-moi mal, défonce-moi. Plus fort.
    
    Puisqu’elle en voulait, je n’allais pas la contrarier. Je la travaillai à grands coups, sortant presque de son cul pour me renfoncer d’un coup, mes couilles claquant sur sa moule. En même temps, je lui tordais les tétons. Elle, elle se branlait le minou. A ce rythme-là, elle jouit trois fois avant que je lui lâche la purée dans les entrailles.
    
    J’étais repu et ta mère aussi.
    
    - Tu sais, je crois que Juliette va faire une bonne affaire avec toi. Si tu sais t’y prendre, tu en feras ce que tu voudras.
    
    Je me demande encore aujourd’hui si elle avait deviné mes ...
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