1. Ma femme et le Le Marchant de légumes (2) :


    Datte: 22/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... ventre a réagit et le plaisir est monté dans ma bite et j’ai éjacule trois fois sur la caravane.
    
    Satisfait, j’ai récupéré mon doigt et fermé ma braguette. Mais, j’ai eu la sensation que mon cul était un peu mouillé et continuait à me démanger légèrement. Je voudrais analyser ma situation personnelle, mais ce sera pour plus tard, pas maintenant, quant je serais loin de cette ambiance charnelle et de ces relations bizarre entre ma terma et ma bite.
    
    Après quelques minutes, j’ai repris mon souffle et j’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre. Les deux amants s’étaient rhabillés et l’homme ouvrait déjà la porte. Mais, avant de laisser ma femme sortir, il l’a fortement serré contre lui, l’a embrassé et lui a chuchoté quelque chose à l’oreille. Cela a fait pouffer ma femme « bien sur habibi ! kifah na’n’ssa zebek lekhchine ! rani nassa’n’naah 3ala e’jmar fi souti wa fi teremti » (Bien sur mon chéri ! comment puis-je oublier ton gros zob épais ! je vais l’attendre avec des charbons ardents dans ma chatte et ma terma !). Il lui a tapé gentiment la terma et ils sont sortis..
    
    Dehors, ma femme s’est vite dirigée vers l’extérieur du marché et l’homme a repris sa place à coté de son jeune compagnon. Alors, moi aussi, j’ai rejoins la maison, assez loin derrière ma femme pour ne pas me faire repérer. L’absence de ma femme n’a pas duré plus d’une heure et demi. Et le reste de la matinée s’est déroulée normalement jusqu’au déjeuner vers 13h. Ensuite, comme à mon habitude, je suis sorti ...
    ... pour aller au café. Mais, dehors, je me suis caché pour voir si ma femme allait encore retrouver son premier amant Algérien.
    
    Presque aussitôt, elle est arrivée vers le marché désert, mais, comme ce matin, elle l’a contourné et elle a cogné la porte de son nouvel amant black. Il lui a immédiatement ouvert et elle est entrée en éclatant d’un rire sonore que j’ai pu entendre de ma position. Aussitôt, j’ai vu le jeune aide vendeur sortir et se diriger vers le centre de la ville. Ils l’ont chassé pour baiser tranquille.
    
    Immédiatement, j’ai rejoins mon observatoire et j’ai constaté que déjà, ils étaient nus. A cette vitesse, ils devaient chauffer de désir et ma femme de dire « souti raha e’skhouni ! wa 3atchana ! e’dawar 3ala neika harra ! a’hla mine n’ta3 e’s’bah ! » (Ma chatte est chaude ! et assoifée ! elle désire une forte baise ! plus jouissante que celle de ce matin !). Et l’homme de répliquer « ma t’khafich ! zébi rah e’m’ta’n’nane ! wa e’m’3amar !gadmili soutak ! gadmi ya qahabti ! » (Ne craint rien ! mon zob est gonflé ! et rempli de désir ! approches ta chatte ! approches putain !).
    
    Et, comme ce matin, ils plongèrent sur le lit, et la danse de l’amour charnel démarra avec des secousses de la caravane, des gémissements de plaisirs et des halètements communs bruyants. Comme je n’avais plus rien à apprendre de nouveau, j’ai essayé de me branler, mais ce fut difficile, mon zob refusait de bander.
    
    J’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre car je désirais voir le gros ...
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