1. Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance… (4)


    Datte: 07/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: peaceme91, Source: Xstory

    ... ton lubrifiant, il est vraiment agréable en bouche et a un bon goût de fruit.
    
    Puis elle a replongé sa bouche sur ma verge. La pauvre, si elle savait qu’elle venait de se régaler de l’intimité de sa propre fille… Bon ça m’apprenait une chose d’Adeline, elle n’avait jamais mangé le sexe d’une autre fille pour ne pas en reconnaître le goût si caractéristique, et qu’elle ne suçait jamais le pauvre Brandon après une pénétration. Désolé pour toi mon pote.
    
    Dans ces moments-là, il n’y a qu’une chose à faire : ne rien faire, suivre le mouvement et profiter de l’honneur et de ce don que vous fait la femme de vous sucer avec gourmandise. Malheureusement, je fus vite rattrapé par la réalité, quand mon regard se posa sur le soutien-gorge d’Aline, qui traînait nonchalamment dans le lit. Je devais faire quelque chose et vite.
    
    Mon instinct ne m’a donné qu’une solution, j’ai retourné Adeline par les hanches, je l’ai positionné en levrette et fermement lui ai enfoncé la tête dans l’oreiller. Je lui ai chuchoté : « ma belle, je vais te prendre tellement fort que tu vas réveiller tout le quartier, je te conseille de mordre l’oreiller ».
    
    Docilement, la mère de famille s’est exécutée, ce qui était bien avec elle c’était que son côté chienne ressortait facilement. Maintenant qu’elle était prévenue, je lui ai enfoncé mon chibre d’un cou sec, tellement fort que mes couilles sont allées taper avec force directement contre le fessier de ma maîtresse, lui arrachant un immense cri que même ...
    ... l’oreiller ne put amortir.
    
    En même temps c’était ce qu’elle m’avait demandé : lui mettre une cartouche. Je lui ai donc de nouveau tout fait : les fessées, le tirage de cheveux, les insultes, les griffures, plus j’étais hard avec elle, plus la mère de famille en redemandait, une vraie chienne en chaleur. Elle hurlait de plaisir, mes couilles tapaient avec vigueur sur son cul. Dans un moment d’agilité, j’ai tout de même réussi à faire tomber le soutien-gorge par terre, en espérant qu’Aline puisse le récupérer.
    
    — Plus fort, plus fort ! Baise-moi comme la traînée que je suis. Je suis ta chienne, ta pute, souille-moi, oui plus fort ! Plus fort !
    
    Plus elle m’encourageait, plus je la déboîtais, et il fallait dire que j’avais une autre source de motivation et d’excitation. J’avais honte, mais de savoir qu’Aline entendait sa mère perdre toute dignité, être rabaissée à son état animal et en plus le clamer haut et fort entre deux gémissements m’excitait au plus haut point. N’en pouvant plus, j’ai attrapé la mère de famille par les cheveux, et j’ai poussé mon chibre au plus profond d’elle pour y répandre mon sperme, et dans un râle rauque je me suis vidé en elle.
    
    Complètement hors service, nous nous sommes effondrés l’un sur l’autre, à bout de souffle. Adeline en a profité pour venir croiser ses jambes fines et douces autour des miennes, puis pour venir se blottir amoureusement entre mes bras. Délicatement, je lui ai caressé les cheveux pendant qu’elle ronronnait de plaisir. ...