1. Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance… (4)


    Datte: 07/08/2022, Catégories: Hétéro Auteur: peaceme91, Source: Xstory

    ... esprits, j’ai pris les commandes.
    
    — Vite, cache-toi sous le lit !
    
    La petite a obéi, un petit « plop » s’était fait entendre quand mon sexe a quitté son fourreau vaginal. Puis avec agilité, la petite s’est glissée sous le lit. Heureusement qu’elle était menue, un bonnet de plus et elle ne passait pas… Une fraction de seconde plus tard, ma porte s’ouvrait.
    
    — Bébé, bébé, disait la voix, voix qui se voulait sexy.
    
    Adeline était dans ma chambre, perchée sur ses talons et vêtue pour tout et pour tout d’un simple petit kimono noir, très court, dévoilant ses cuisses et presque son intimité. Elle était maquillée, et par expérience, s’était déjà attaché les cheveux, ce qui ne laissait que peu de doute sur ce qu’elle avait l’intention de me faire.
    
    Comme sa fille quelques minutes plus tôt, Adeline avait adopté une démarche lascive et caressait sensuellement le lit en se rapprochant, un grand sourire sur le visage. Rapidement, elle sauta sur le lit, et sans me laisser dire un mot me prit le visage entre les doigts et m’embrassa tendrement. Comme à l’accoutumée avec Adeline, ses lèvres et sa bouche avaient un goût agréable de framboise. Nous nous sommes regardés avec passion, mon cœur battait la chamade. À la fois excité par Adeline, mais aussi par la peur qu’elle découvre sa fille sous le lit.
    
    — Et Brandon ?
    
    — Ne t’inquiète pas, je l’ai envoyé faire des courses à l’autre bout de département et toi ta femme ne t’attend pas avant cet après-midi… on a tout notre temps ...
    ... mon ange. Franchement, j’ai besoin de sexe ! Ma garce de fille me met les nerfs à vif ! Je n’en peux plus de cette gamine, parfois je me dis que j’aurais mieux fait de l’avaler ! Bébé, sauve-moi, car j’ai besoin de relâcher la pression, de prendre ma cartouche…
    
    Soudain, son regard s’est porté sur mon sexe en érection, pointant fièrement vers le plafond, ruisselant et rendu brillant par l’effet de la cyprine d’Aline.
    
    — Bah alors, tu bandes déjà mon cochon ! Ne me dis pas que tu te masturbais dans notre chambre d’ami, tu es toujours un petit pervers. J’espère que tu pensais à moi en t’astiquant, bien que je ne vois aucune de mes petites culottes sous ton nez… laisse-moi t’aider bébé.
    
    Adeline m’a jeté un regard espiègle, avant de venir m’embrasser les pectoraux. Lentement, elle a fait glisser sa langue et ses doigts le long de mon corps. Elle a pris le temps de se faire désirer, m’embrassant même les cuisses, elle me rendait fou. Entre l’expérience de quadragénaire d’Adeline et la maladresse novice d’Aline, mon pénis subissait toutes les pires épreuves de l’excitation, et il me fallait toute ma concentration pour ne pas lâcher la sauce.
    
    Puis sans prévenir, alors que ma bite frétillait, Adeline à enfourné l’objet tant désiré entre ses lèvres, et avec amusement s’est amusée à lécher toute la mouille que sa propre fille avait laissé sur ma verge, la dégustant avec application, méthode et une gourmandise non feinte.
    
    — Hum bébé ! Il faudra que tu me donnes la marque de ...